Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
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olivier
Eric
Jean46
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Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
Un enfer 44, la poche de Falaise.
Salut à tous. Nouvelle partie "en" Normandie. 1er scénario, celui de l'encerclement. Théoriquement 1500pts de part et d'autre anglais/allemandes et finalement, le joueur anglais se rendra compte après coup qu'il a joué en 1250ps. Pas facile...
Août 44. Dans ce que l'on appellera plus tard, le chaudron de la poche de falaise, les allemands survivants à presque trois mois de combat violent, tentent leur dernière chance pour sortir de l'enfer normand. Les alliés de leur côté essayent de refermer cette poche encore bien percée d'où s'échappent chaque jour des troupes qu'ils retrouveront bien assez face à eux. Pour l'heure, c'est un petit détachement de la 9ème panzerdivision SS Hohenstauffen qu'une troupe anglaise a reçu pour ordre de stopper. Autant dire que l'infanterie allemande, pour la plupart des fanatiques de la première heure a conservé toute son agressivité guerrière. Le fauve blessé a encore de quoi mordre ! L'objectif allemand est net et sans bavure, franchir le bouchon ennemi et accessoirement détruire des unités et celui des anglais, détruire le plus possible d'unités adverses tout en les empêchant de passer.
Pour l'heure, les anglais se mettent en position aux environs d'un petit hameau. Le joueur anglais commencera la partie avec un peu plus de la moitié de ses troupes sur table tandis que l'allemand choisit de garder un groupe de combat et l'équipe panzerscreck en réserve avec entrée de flanc au troisième tour (si possible).
Les troupes anglaises se disposeront en défense, en haut de la photo et les allemands arriveront forcément par le bas. Le canon de 6pdr anglais est déjà en place dans l'angle de la table.
Le voilà, vu côté anglais. Ne vous fiez pas aux figs para, c'est par défaut. Dans l'angle de la maison, un observateur d'artillerie. Il faut dire que les anglais sont particulièrement soutenus par leur artillerie.
Au centre, mortier moyen, sous-lieutenant, un autre observateur d'artillerie et un groupe de combat.
Enfin, l'aile droite anglaise avec l'équipe de tireur d'élite et une Vickers. A cela il faut rajouter l'observateur du mortier invisible sur les photos.
Côté allemand, seuls le tireur d'élite,son équipier et l'observateur du mortier de 81 ont réussi à s’infiltrer sans être repérés. Ils ont choisi une maison détruite au cœur du hameau afin d'harceler l'ennemi et couvrir la progression de leurs compagnons d'arme.
Ainsi ces hommes sont "aux premières loges" pour assister au bombardement préparatoire des lignes ennemies. Un déluge de feu s'abat tout à coup sur les anglais faisant jaillir dans le ciel, volutes de fumées noires, poussière et débris de toute sorte. Les arbres sont hachés multipliant de leur écorce ravagée, les risques d'être touché par un impact mortel. Ils apprécient en connaisseurs mais regrettent toutefois que la puissance de feu allemande n'est plus en mesure d'égaler celle des alliés, et de loin. Aussi, même si les anglais ont dû baisser la tête et que certains ne s'en sont pas encore remis, seule une perte est à déplorer dans leur rang.
1er tour:
La peur et le vacarme du bombardement ne sont pas encore retombés que déjà, les premières troupes allemandes s'élancent vers une porte de sortie possible.
Sur l'aile gauche, un groupe de fantassin s'élance en avant.
Ainsi que le mortier qui se met en place.
Le groupe britannique qui a perdu une des siens, malgré une forte baisse de son moral (3 clouages) réussit à progresser rapidement vers le centre.
Tandis que le premier groupe allemand subit un tir de mortier parfaitement ajusté du premier coup. Heureusement, plus de peur que de mal. Malgré tout, cette réaction rapide et ce coup au but des artilleurs anglais baisse quelque peu le moral de ces vétérans.
Pendant ce temps, les équipes de la mitrailleuse Vickers et du tireur d'élite ont progressé et apparaissent en lisière de bois prêts à "arroser" tout ce qui débouchera.
Les troupes allemandes continuant d'arriver, c'est au tour de la MG42 de rejoindre le mortier déjà en place.
Un bruit de moteur se fait entendre, un SDKFZ 251 chargé de panzergrenadiers progresse et se gare à l'abri de la biscuiterie, prêt à décharger un groupe de combat.
.
Ce qu'ils ignorent (et que j'oublierai), c'est que l'observateur d'artillerie anglais a parfaitement réussi son pointage, juste de l'autre côté de la maison. Dans peu de temps, les allemands aussi goûteront à l'acier anglais. Mais pour l'heure, ignorant tout du danger qui le guette, le tireur d'élite, ajuste sa lunette sur le chef de groupe anglais en approche et le fait basculer de vie à trépas !
Sur l'aile droite allemande, un Puma apparaît et file se mettre à l'abri de sa cible, le canon de 6pdr derrière une petite maison isolée.
Au centre, le groupe dans le SDKFZ jaillit du transport comme un seul et les premiers armés de leur STG44 ou MP40 peuvent déjà cibler le groupe anglais sans chef et un nouveau soldat de sa majesté mord la poussière. Autant dire que déjà au premier tour ce groupe de réguliers verra son avenir et ses chances d'intervenir bien compromises.
Et pour finir, côté allemand, apparaît le soutien allemand le plus puissant, un Panzer IV qui lui aussi vide quelques bandes de mitrailleuses sur le groupe qui a déjà bien souffert mais cette fois-ci sans résultat.
Vues à la fin du 1er tour:
2ème tour:
Le deuxième tour commence par un bombardement phénoménal. La maison centrale est entourée de geysers et un éclat met hors de combat l'observateur du mortier tout en clouant l'équipe de tireur d'élite à côté. Le chef de compagnie, le groupe de combat, le conducteur du SDKFZ, tout le monde baisse la tête. Le tir aura fait son effet.
Peu après, le Puma sort de sa cachette et mitraille à bout portant son mortel ennemi. Précipitation, déplacement et précision ne font pas bon ménage, malgré tout, un artilleur tombe sous les balles du Puma.
A l'opposé sur l'aile gauche allemande, le deuxième groupe de combat (touché précédemment par le mortier) teste son moral et part dans la direction opposée (double six) de ce qu'il devrait.
Au centre, malgré le choc moral (3 clouages) le groupe de vétérans panzergrenadiers aidé de la présence de leur sous-lieutenant progressent dans une maison en ruine et mitraillent de nouveau le groupe anglais qui a déjà tant souffert.
Puis c' est au tour du transport de troupe de vider ses bandes de cartouches sur le pauvre groupe.
Puis... le Panzer IV apporte sa contribution au carnage. A chaque tir un clouage supplémentaire et "seulement" deux nouvelles pertes. Cela fait quand même vraiment beaucoup pour cette troupe qui n'aura vraiment pas le temps de devenir vétéran...
Les allemands continuent d'harceler l'ennemi. Nous l'avons, avec l'étau qui se referme d'heure en heure, la volonté est forte de sortir de cette fournaise. Calmement, alors que la poussière du bombardement n'est pas encore tout à fait dissipée, le tireur d'élite aligne le chef de pièce du 6pdr. Son doigt caresse la détente de son fusil et le coup part, se voulant mortel. Cependant, la cible a baissé la tête au dernier moment et la balle ne fait que frôler le casque sans autre effet que de faire une grande frayeur à son propriétaire.
Presque instantanément, l'équipe Piat arrive en renfort face au Puma qui a menacé le 6Pdr. Avant même que le tireur aie pu aligner le blindé pour lui faire payer la perte de leur camarade, le pilote, par un geste qui lui a cent fois sauvé la vie, ramène le véhicule à l'abri derrière la maison. L'équipage s'en tire avec une bonne suée qui n'a rien à voir avec la température extérieure.
Un autre renfort et non des moindres pointe le bout de son nez ou plutôt de son canon. Un char Churchill avance rapidement sur la route et trouve miraculeusement un axe de tire avec l'arrière du Puma dans sa lunette.
Fire ! L'obus de 75 frôle les fantassins meurtris et vient percuter l'arrière du blindé allemand. C'est l'embrasement immédiat et personne ne sort du véhicule.
Aussitôt après ce tir réussi, un nouveau groupe de fantassins anglais rejoint le Churchill.
Positions à la fin du deuxième tour.
3ème tour :
Les anglais continuent les hostilités. le Churchill avance avec précaution et vise la seule cible acceptable pour lui. Et, à l'inverse de ce qui s'est produit peu avant, le transport allemand qui n'avait aucune chance de s'en tirer ne perd... qu'une chenille. Certes, il est immobilisé mais toujours en état de combattre.
C'est alors qu'un acte incroyable et fou se produit. Les panzergrenadiers, retranchés dans la maison voisine du Churchill sautent littéralement sur le blindé anglais, chargés de mines et de grenades antichars. Le combat est d'une violence inouïe. L'équipage du char reçoit l'assaut sans avoir eu le temps de réagir. Leur chance: le blindage épais de leur monture et surtout, le fait d'avoir bougé (ce que j'avais complètement oublié..., d'où des touches sur du 6!). Et là, l'attaque allemande est un peu courte... Et... comme ce groupe d'assaut est fanatique, loin d'être refoulé, il s'accroche et reçoit cette fois-ci la défense de l'équipage. Cinq hommes sur dix sont dès à présent hors de combat. Mais ils repartent à l'assaut, aveuglés par la rage et hors de toute conscience pour échouer une nouvelle fois mais de peu (1) à réaliser des dégâts. Les anglais, eux ne perdent pas l'espoir de s'en sortir et finalement éliminent les cinq derniers combattants ennemis. Le groupe de panzergrenadiers en un combat, n'existe plus.
De l'autre côté des maisons, n'ignorant pas qu'un Churchill est dans les rues, Le Panzer IV progresse de manière à ne pas être surpris et continue de mitrailler le groupe anglais. Un nouvel homme tombe. Il ne reste plus que deux survivants.
Pendant ce temps, sur l'aile gauche, le deuxième groupe allemand a enfin repris ses esprits. Ils repartent dans le bon sens s'abritant derrière le bois afin de se protéger de la Vickers et du tireur d'élite anglais.
Côté anglais, les hommes continuent à tomber, l'équipier du tireur d'élite s'écroule sous le tir du sous-lieutenant et le deuxième observateur d'artillerie est lui victime de la MG42. L'équipe de la mitrailleuse ne saura jamais qu'ils auront sauvé leurs camarades de combat d'un nouveau tir d'artillerie.
Une nouvelle équipe allemande arrive maintenant dans le flanc anglais. Le tireur du Panzerschreck met en joue le canon de 6pdr mais sans sans effet sur le canon.
Autre surprise de taille pour les britanniques, un troisième groupe de panzergrenadiers, des pionniers pour être plus exacts, surgissent sur le flanc de la Vickers. Armés jusqu'aux dents en plus de leur fanatisme, ils sont accompagnés d'un lance flamme. L'horreur par excellence.
Et l'horreur continue à s'inviter sur le champ de bataille. Un long jet enflammé surgit tout à coup du groupe et calcine en quelques secondes les trois servants de la mitrailleuse.
A leur tour, les anglais réagissent, notamment ceux qui accompagnaient le Churchill. Celui-ci à priori sans plus de menace pour lui, n'a plus besoin de leur protection. Le groupe de fantassins se retourne alors vers les panzergrenadiers qui ont éliminé la Vickers et abattent par chance, le tireur de la MG42 en bipied.
A noter qu'il manque encore des renforts anglais n'ayant pas réussi leur test d'entrée dans le chaudron.
A suivre...
Salut à tous. Nouvelle partie "en" Normandie. 1er scénario, celui de l'encerclement. Théoriquement 1500pts de part et d'autre anglais/allemandes et finalement, le joueur anglais se rendra compte après coup qu'il a joué en 1250ps. Pas facile...
Août 44. Dans ce que l'on appellera plus tard, le chaudron de la poche de falaise, les allemands survivants à presque trois mois de combat violent, tentent leur dernière chance pour sortir de l'enfer normand. Les alliés de leur côté essayent de refermer cette poche encore bien percée d'où s'échappent chaque jour des troupes qu'ils retrouveront bien assez face à eux. Pour l'heure, c'est un petit détachement de la 9ème panzerdivision SS Hohenstauffen qu'une troupe anglaise a reçu pour ordre de stopper. Autant dire que l'infanterie allemande, pour la plupart des fanatiques de la première heure a conservé toute son agressivité guerrière. Le fauve blessé a encore de quoi mordre ! L'objectif allemand est net et sans bavure, franchir le bouchon ennemi et accessoirement détruire des unités et celui des anglais, détruire le plus possible d'unités adverses tout en les empêchant de passer.
Pour l'heure, les anglais se mettent en position aux environs d'un petit hameau. Le joueur anglais commencera la partie avec un peu plus de la moitié de ses troupes sur table tandis que l'allemand choisit de garder un groupe de combat et l'équipe panzerscreck en réserve avec entrée de flanc au troisième tour (si possible).
Les troupes anglaises se disposeront en défense, en haut de la photo et les allemands arriveront forcément par le bas. Le canon de 6pdr anglais est déjà en place dans l'angle de la table.
Le voilà, vu côté anglais. Ne vous fiez pas aux figs para, c'est par défaut. Dans l'angle de la maison, un observateur d'artillerie. Il faut dire que les anglais sont particulièrement soutenus par leur artillerie.
Au centre, mortier moyen, sous-lieutenant, un autre observateur d'artillerie et un groupe de combat.
Enfin, l'aile droite anglaise avec l'équipe de tireur d'élite et une Vickers. A cela il faut rajouter l'observateur du mortier invisible sur les photos.
Côté allemand, seuls le tireur d'élite,son équipier et l'observateur du mortier de 81 ont réussi à s’infiltrer sans être repérés. Ils ont choisi une maison détruite au cœur du hameau afin d'harceler l'ennemi et couvrir la progression de leurs compagnons d'arme.
Ainsi ces hommes sont "aux premières loges" pour assister au bombardement préparatoire des lignes ennemies. Un déluge de feu s'abat tout à coup sur les anglais faisant jaillir dans le ciel, volutes de fumées noires, poussière et débris de toute sorte. Les arbres sont hachés multipliant de leur écorce ravagée, les risques d'être touché par un impact mortel. Ils apprécient en connaisseurs mais regrettent toutefois que la puissance de feu allemande n'est plus en mesure d'égaler celle des alliés, et de loin. Aussi, même si les anglais ont dû baisser la tête et que certains ne s'en sont pas encore remis, seule une perte est à déplorer dans leur rang.
1er tour:
La peur et le vacarme du bombardement ne sont pas encore retombés que déjà, les premières troupes allemandes s'élancent vers une porte de sortie possible.
Sur l'aile gauche, un groupe de fantassin s'élance en avant.
Ainsi que le mortier qui se met en place.
Le groupe britannique qui a perdu une des siens, malgré une forte baisse de son moral (3 clouages) réussit à progresser rapidement vers le centre.
Tandis que le premier groupe allemand subit un tir de mortier parfaitement ajusté du premier coup. Heureusement, plus de peur que de mal. Malgré tout, cette réaction rapide et ce coup au but des artilleurs anglais baisse quelque peu le moral de ces vétérans.
Pendant ce temps, les équipes de la mitrailleuse Vickers et du tireur d'élite ont progressé et apparaissent en lisière de bois prêts à "arroser" tout ce qui débouchera.
Les troupes allemandes continuant d'arriver, c'est au tour de la MG42 de rejoindre le mortier déjà en place.
Un bruit de moteur se fait entendre, un SDKFZ 251 chargé de panzergrenadiers progresse et se gare à l'abri de la biscuiterie, prêt à décharger un groupe de combat.
.
Ce qu'ils ignorent (et que j'oublierai), c'est que l'observateur d'artillerie anglais a parfaitement réussi son pointage, juste de l'autre côté de la maison. Dans peu de temps, les allemands aussi goûteront à l'acier anglais. Mais pour l'heure, ignorant tout du danger qui le guette, le tireur d'élite, ajuste sa lunette sur le chef de groupe anglais en approche et le fait basculer de vie à trépas !
Sur l'aile droite allemande, un Puma apparaît et file se mettre à l'abri de sa cible, le canon de 6pdr derrière une petite maison isolée.
Au centre, le groupe dans le SDKFZ jaillit du transport comme un seul et les premiers armés de leur STG44 ou MP40 peuvent déjà cibler le groupe anglais sans chef et un nouveau soldat de sa majesté mord la poussière. Autant dire que déjà au premier tour ce groupe de réguliers verra son avenir et ses chances d'intervenir bien compromises.
Et pour finir, côté allemand, apparaît le soutien allemand le plus puissant, un Panzer IV qui lui aussi vide quelques bandes de mitrailleuses sur le groupe qui a déjà bien souffert mais cette fois-ci sans résultat.
Vues à la fin du 1er tour:
2ème tour:
Le deuxième tour commence par un bombardement phénoménal. La maison centrale est entourée de geysers et un éclat met hors de combat l'observateur du mortier tout en clouant l'équipe de tireur d'élite à côté. Le chef de compagnie, le groupe de combat, le conducteur du SDKFZ, tout le monde baisse la tête. Le tir aura fait son effet.
Peu après, le Puma sort de sa cachette et mitraille à bout portant son mortel ennemi. Précipitation, déplacement et précision ne font pas bon ménage, malgré tout, un artilleur tombe sous les balles du Puma.
A l'opposé sur l'aile gauche allemande, le deuxième groupe de combat (touché précédemment par le mortier) teste son moral et part dans la direction opposée (double six) de ce qu'il devrait.
Au centre, malgré le choc moral (3 clouages) le groupe de vétérans panzergrenadiers aidé de la présence de leur sous-lieutenant progressent dans une maison en ruine et mitraillent de nouveau le groupe anglais qui a déjà tant souffert.
Puis c' est au tour du transport de troupe de vider ses bandes de cartouches sur le pauvre groupe.
Puis... le Panzer IV apporte sa contribution au carnage. A chaque tir un clouage supplémentaire et "seulement" deux nouvelles pertes. Cela fait quand même vraiment beaucoup pour cette troupe qui n'aura vraiment pas le temps de devenir vétéran...
Les allemands continuent d'harceler l'ennemi. Nous l'avons, avec l'étau qui se referme d'heure en heure, la volonté est forte de sortir de cette fournaise. Calmement, alors que la poussière du bombardement n'est pas encore tout à fait dissipée, le tireur d'élite aligne le chef de pièce du 6pdr. Son doigt caresse la détente de son fusil et le coup part, se voulant mortel. Cependant, la cible a baissé la tête au dernier moment et la balle ne fait que frôler le casque sans autre effet que de faire une grande frayeur à son propriétaire.
Presque instantanément, l'équipe Piat arrive en renfort face au Puma qui a menacé le 6Pdr. Avant même que le tireur aie pu aligner le blindé pour lui faire payer la perte de leur camarade, le pilote, par un geste qui lui a cent fois sauvé la vie, ramène le véhicule à l'abri derrière la maison. L'équipage s'en tire avec une bonne suée qui n'a rien à voir avec la température extérieure.
Un autre renfort et non des moindres pointe le bout de son nez ou plutôt de son canon. Un char Churchill avance rapidement sur la route et trouve miraculeusement un axe de tire avec l'arrière du Puma dans sa lunette.
Fire ! L'obus de 75 frôle les fantassins meurtris et vient percuter l'arrière du blindé allemand. C'est l'embrasement immédiat et personne ne sort du véhicule.
Aussitôt après ce tir réussi, un nouveau groupe de fantassins anglais rejoint le Churchill.
Positions à la fin du deuxième tour.
3ème tour :
Les anglais continuent les hostilités. le Churchill avance avec précaution et vise la seule cible acceptable pour lui. Et, à l'inverse de ce qui s'est produit peu avant, le transport allemand qui n'avait aucune chance de s'en tirer ne perd... qu'une chenille. Certes, il est immobilisé mais toujours en état de combattre.
C'est alors qu'un acte incroyable et fou se produit. Les panzergrenadiers, retranchés dans la maison voisine du Churchill sautent littéralement sur le blindé anglais, chargés de mines et de grenades antichars. Le combat est d'une violence inouïe. L'équipage du char reçoit l'assaut sans avoir eu le temps de réagir. Leur chance: le blindage épais de leur monture et surtout, le fait d'avoir bougé (ce que j'avais complètement oublié..., d'où des touches sur du 6!). Et là, l'attaque allemande est un peu courte... Et... comme ce groupe d'assaut est fanatique, loin d'être refoulé, il s'accroche et reçoit cette fois-ci la défense de l'équipage. Cinq hommes sur dix sont dès à présent hors de combat. Mais ils repartent à l'assaut, aveuglés par la rage et hors de toute conscience pour échouer une nouvelle fois mais de peu (1) à réaliser des dégâts. Les anglais, eux ne perdent pas l'espoir de s'en sortir et finalement éliminent les cinq derniers combattants ennemis. Le groupe de panzergrenadiers en un combat, n'existe plus.
De l'autre côté des maisons, n'ignorant pas qu'un Churchill est dans les rues, Le Panzer IV progresse de manière à ne pas être surpris et continue de mitrailler le groupe anglais. Un nouvel homme tombe. Il ne reste plus que deux survivants.
Pendant ce temps, sur l'aile gauche, le deuxième groupe allemand a enfin repris ses esprits. Ils repartent dans le bon sens s'abritant derrière le bois afin de se protéger de la Vickers et du tireur d'élite anglais.
Côté anglais, les hommes continuent à tomber, l'équipier du tireur d'élite s'écroule sous le tir du sous-lieutenant et le deuxième observateur d'artillerie est lui victime de la MG42. L'équipe de la mitrailleuse ne saura jamais qu'ils auront sauvé leurs camarades de combat d'un nouveau tir d'artillerie.
Une nouvelle équipe allemande arrive maintenant dans le flanc anglais. Le tireur du Panzerschreck met en joue le canon de 6pdr mais sans sans effet sur le canon.
Autre surprise de taille pour les britanniques, un troisième groupe de panzergrenadiers, des pionniers pour être plus exacts, surgissent sur le flanc de la Vickers. Armés jusqu'aux dents en plus de leur fanatisme, ils sont accompagnés d'un lance flamme. L'horreur par excellence.
Et l'horreur continue à s'inviter sur le champ de bataille. Un long jet enflammé surgit tout à coup du groupe et calcine en quelques secondes les trois servants de la mitrailleuse.
A leur tour, les anglais réagissent, notamment ceux qui accompagnaient le Churchill. Celui-ci à priori sans plus de menace pour lui, n'a plus besoin de leur protection. Le groupe de fantassins se retourne alors vers les panzergrenadiers qui ont éliminé la Vickers et abattent par chance, le tireur de la MG42 en bipied.
A noter qu'il manque encore des renforts anglais n'ayant pas réussi leur test d'entrée dans le chaudron.
A suivre...
Dernière édition par Jean46 le Dim 17 Jan - 7:07, édité 1 fois
Jean46- Messages : 466
Date d'inscription : 08/07/2015
Age : 64
Localisation : Escamps (Lot 46)
Re: Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
Toujours aussi agréable à voir et passionnant à lire .
Eric- Messages : 7646
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 82
Et voici la suite...
4ème tour : (ou le tour des occasions manquées...)
Messieurs les anglais "tirez les premiers" ! Je m'en serais bien passé. L'initiative est anglaise et le Churchill après le massacre précédent (toutefois, un peu malgré lui) continue sa progression dans le hameau et débouche sur les arrières allemands. Un obus part aussitôt vers le Panzer IV de flanc mais la fébrilité du tireur, sans doute pas encore remis de l'attaque précédente fait que ce tir se perd dans le ciel normand.
Les anglais continuent par un nouveau tir du groupe central sur les pionniers de l'aile gauche allemande.
Pire, ils continuent par l'arrivée (tant attendue) d'un semi chenillé et son groupe de combat. Les mitrailleuses de bord se rajoutent au tir précédent. Malgré ce déluge de feu, seul un homme est perdu, malgré tout, le moral du groupe allemand est passablement entamé.
Un malheur n'arrivant jamais seul, c'est au tour du mortier allemand de recevoir un obus bien placé qui élimine l'équipe entière. Décidément le mortier anglais aura fait des merveilles aujourd'hui...
Et c'est maintenant que se produit ma plus grosse erreur. Alors que je me faisais une joie (si si, j'avoue) de monter à l'assaut du semi-chenillé avec les pionniers fanatiques et éliminer le groupe encore dedans, "j'oublie" cette intention pour éliminer le 1er groupe anglais. Celui a tant souffert et qui n'était pas à cinq minutes pour disparaître vu son clouage extrême. Impardonnable !
Certes, le groupe est détruit mais de toute façon, son temps était compté...
Alors que tout de suite après, les anglais reprennent la main et bien sûr... le groupe évacue le semi-chenillé pour rafaler les pionniers. Bilan, deux pertes supplémentaires (maintenant 4 sur 10) et 4 clouages au total. Leur chance de sortie s'amenuise.
Pendant que la MG42 sur trépied se rapproche du centre et par là-même s'éloigne du Churchill, l'équipe panzerschreck, têtue, va retenter son tir sur le canon de 6pdr.
Et cette fois-ci, le tireur prend le temps d'aligner le canon, appuit sur le contacteur, la roquette part et... détruit le canon est ses servants.
Le Panzer IV, lui, préfère aussi quitter l'environnement du Churchill sans même tenter de le détruire. Les ordres sont très clairs, il faut privilégier la sauvegarde du matériel en évitant tout affrontement qui pourrait mal tourner. Aussi, le blindé part vers le centre, se rapprochant de la liberté et du deuxième groupe anglais qu'il mitraille mais sans résultat notable.
Vue du centre, on voit l'équipe MG42 en déplacement et le sous-lieutenant et son radio derrière le char.
Vue d'ensemble. Les allemands doivent sortir à droite. Le Churchill a fait le tour. Au fond en haut, le groupe de pionniers et le deuxième groupe allemand dans les bois.
5ème tour:
Les allemands débutent le tour. Cette fois, les pionniers ne sont pas oubliés et malgré leurs nombreux clouages passent le test d'ordre avec succès, comme quoi la motivation... Le lance-flamme crache de nouveau le feu mais sans résultat cette fois-ci.
Ainsi que le tireur panzerfaust sur le blindé qui n'a pas plus de succès.
Aussitôt après, le deuxième groupe de panzergrenadiers, chargent littéralement le tireur d'élite et le submergent sans difficulté. Ils débouchent ensuite de l'autre côté, potentiellement prêts à jaillir sur le semi-chenillé.
Eux aussi, respectant les ordres, l'équipe panzerschreck se dirige au pas de course vers la sortie ignorant l'observateur anglais.
Un nouveau danger se profile pour le Panzer IV, un piat, et dans son dos qui plus est... mais voilà, cette arme antichar n'est pas des plus précise et le char s'en tire.
Il n'attend d'ailleurs pas son reste et dans un nouveau bond, file vers de nouvelles aventures au-delà de la Seine. Il sort de table.
Au centre du hameau, le Churchill refait surface et arrose copieusement le chef allemand. Mais la chance est avec le sous-lieutenant qui s'en tire sans une égratignure.
Décidés à protéger leurs camarades, tireur d'élite (dans la maison) et MG42 couvrent leur repli mais n'arrivent pas à éliminer le groupe Piat.
Sur l'aile gauche allemande, le groupe de pionniers est toujours empêtré avec les anglais qui lui barrent la route.
Le deuxième groupe anglais n'ayant plus de cibles proches repart vers le centre comptant sans doute nettoyer les derniers nids de résistance.
De l'autre côté du hameau, le chef du détachement allemand s'apprête lui aussi à quitter le terrain.
Dernière vue de l'aile gauche allemande. Les pionniers sont "mal en poing" mais le deuxième groupe dans le bois rééquilibre les forces.
En final, la victoire est allemande. Le Panzer est sorti et d'autres unités sont dans la zone de défense anglaise. Le mortier et son observateur ainsi que le Puma ont été perdus. Côté anglais, l'équipe de tireur d'élite, un observateur, un groupe de combat, une Vickers. C'est après coup, que le joueur anglais se rendra compte qu'il n'a joué qu'avec 1250pts donc forcément, c'était loin d'être facile pour lui. En tout cas, encore une super partie et une grosse erreur de ma part que j'essayerai de ne pas renouveler.
A bientôt.
Jean
Messieurs les anglais "tirez les premiers" ! Je m'en serais bien passé. L'initiative est anglaise et le Churchill après le massacre précédent (toutefois, un peu malgré lui) continue sa progression dans le hameau et débouche sur les arrières allemands. Un obus part aussitôt vers le Panzer IV de flanc mais la fébrilité du tireur, sans doute pas encore remis de l'attaque précédente fait que ce tir se perd dans le ciel normand.
Les anglais continuent par un nouveau tir du groupe central sur les pionniers de l'aile gauche allemande.
Pire, ils continuent par l'arrivée (tant attendue) d'un semi chenillé et son groupe de combat. Les mitrailleuses de bord se rajoutent au tir précédent. Malgré ce déluge de feu, seul un homme est perdu, malgré tout, le moral du groupe allemand est passablement entamé.
Un malheur n'arrivant jamais seul, c'est au tour du mortier allemand de recevoir un obus bien placé qui élimine l'équipe entière. Décidément le mortier anglais aura fait des merveilles aujourd'hui...
Et c'est maintenant que se produit ma plus grosse erreur. Alors que je me faisais une joie (si si, j'avoue) de monter à l'assaut du semi-chenillé avec les pionniers fanatiques et éliminer le groupe encore dedans, "j'oublie" cette intention pour éliminer le 1er groupe anglais. Celui a tant souffert et qui n'était pas à cinq minutes pour disparaître vu son clouage extrême. Impardonnable !
Certes, le groupe est détruit mais de toute façon, son temps était compté...
Alors que tout de suite après, les anglais reprennent la main et bien sûr... le groupe évacue le semi-chenillé pour rafaler les pionniers. Bilan, deux pertes supplémentaires (maintenant 4 sur 10) et 4 clouages au total. Leur chance de sortie s'amenuise.
Pendant que la MG42 sur trépied se rapproche du centre et par là-même s'éloigne du Churchill, l'équipe panzerschreck, têtue, va retenter son tir sur le canon de 6pdr.
Et cette fois-ci, le tireur prend le temps d'aligner le canon, appuit sur le contacteur, la roquette part et... détruit le canon est ses servants.
Le Panzer IV, lui, préfère aussi quitter l'environnement du Churchill sans même tenter de le détruire. Les ordres sont très clairs, il faut privilégier la sauvegarde du matériel en évitant tout affrontement qui pourrait mal tourner. Aussi, le blindé part vers le centre, se rapprochant de la liberté et du deuxième groupe anglais qu'il mitraille mais sans résultat notable.
Vue du centre, on voit l'équipe MG42 en déplacement et le sous-lieutenant et son radio derrière le char.
Vue d'ensemble. Les allemands doivent sortir à droite. Le Churchill a fait le tour. Au fond en haut, le groupe de pionniers et le deuxième groupe allemand dans les bois.
5ème tour:
Les allemands débutent le tour. Cette fois, les pionniers ne sont pas oubliés et malgré leurs nombreux clouages passent le test d'ordre avec succès, comme quoi la motivation... Le lance-flamme crache de nouveau le feu mais sans résultat cette fois-ci.
Ainsi que le tireur panzerfaust sur le blindé qui n'a pas plus de succès.
Aussitôt après, le deuxième groupe de panzergrenadiers, chargent littéralement le tireur d'élite et le submergent sans difficulté. Ils débouchent ensuite de l'autre côté, potentiellement prêts à jaillir sur le semi-chenillé.
Eux aussi, respectant les ordres, l'équipe panzerschreck se dirige au pas de course vers la sortie ignorant l'observateur anglais.
Un nouveau danger se profile pour le Panzer IV, un piat, et dans son dos qui plus est... mais voilà, cette arme antichar n'est pas des plus précise et le char s'en tire.
Il n'attend d'ailleurs pas son reste et dans un nouveau bond, file vers de nouvelles aventures au-delà de la Seine. Il sort de table.
Au centre du hameau, le Churchill refait surface et arrose copieusement le chef allemand. Mais la chance est avec le sous-lieutenant qui s'en tire sans une égratignure.
Décidés à protéger leurs camarades, tireur d'élite (dans la maison) et MG42 couvrent leur repli mais n'arrivent pas à éliminer le groupe Piat.
Sur l'aile gauche allemande, le groupe de pionniers est toujours empêtré avec les anglais qui lui barrent la route.
Le deuxième groupe anglais n'ayant plus de cibles proches repart vers le centre comptant sans doute nettoyer les derniers nids de résistance.
De l'autre côté du hameau, le chef du détachement allemand s'apprête lui aussi à quitter le terrain.
Dernière vue de l'aile gauche allemande. Les pionniers sont "mal en poing" mais le deuxième groupe dans le bois rééquilibre les forces.
En final, la victoire est allemande. Le Panzer est sorti et d'autres unités sont dans la zone de défense anglaise. Le mortier et son observateur ainsi que le Puma ont été perdus. Côté anglais, l'équipe de tireur d'élite, un observateur, un groupe de combat, une Vickers. C'est après coup, que le joueur anglais se rendra compte qu'il n'a joué qu'avec 1250pts donc forcément, c'était loin d'être facile pour lui. En tout cas, encore une super partie et une grosse erreur de ma part que j'essayerai de ne pas renouveler.
A bientôt.
Jean
Jean46- Messages : 466
Date d'inscription : 08/07/2015
Age : 64
Localisation : Escamps (Lot 46)
Re: Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
Merci . ce fut captivant à lire et les photos sont bien belles
Eric- Messages : 7646
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 82
Re: Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
Superbe, et j'adore VRAIMENT le rendu des photos sépia !!!
Utilises-tu un filtre pré-réglé de ton appareil photo ou logiciel de retouches, ou bien tu travailles ca manuellement ?
Si tu utilises Photoshop, je suis preneur de ta "recette" car de mon côté, même en combinant les Filtres photo [Noir & Blanc] puis [Sépia], je n'arrive pas à rendre un aspect "vieilli" aussi chouette que le tien !
Utilises-tu un filtre pré-réglé de ton appareil photo ou logiciel de retouches, ou bien tu travailles ca manuellement ?
Si tu utilises Photoshop, je suis preneur de ta "recette" car de mon côté, même en combinant les Filtres photo [Noir & Blanc] puis [Sépia], je n'arrive pas à rendre un aspect "vieilli" aussi chouette que le tien !
olivier- Messages : 647
Date d'inscription : 24/03/2013
Re: Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
Pour être franc, je ne fais rien de tout cela, j'utilise tout bonnement l'option "couleur" sur mon appareil photo. Mon non, plus, je n'avais pas réussi à obtenir ce résultat avec mon logiciel photo.
Merci pour vos commentaires.
Merci pour vos commentaires.
Jean46- Messages : 466
Date d'inscription : 08/07/2015
Age : 64
Localisation : Escamps (Lot 46)
Re: Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
Jean46 a écrit:Pour être franc, je ne fais rien de tout cela, j'utilise tout bonnement l'option "couleur" sur mon appareil photo.
Bel effet en tous cas. Ca crée une ambiance superbe !
olivier- Messages : 647
Date d'inscription : 24/03/2013
Re: Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
Beau CR. Merci!!
_________________
- Do you ever feel lonely?
- Only around people.
Re: Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
vu qu'il n'a pas d'effet HE et qu'un canon n'a pas de blindage, tu as géré comment la destruction du canon par le panzerschek (en terme de règles)?
tsi na pah- Messages : 311
Date d'inscription : 15/11/2012
Re: Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
Bon rapport!
C'est marrant, je m'attendait à une victoire british avec tout ces allemands morts...
C'est marrant, je m'attendait à une victoire british avec tout ces allemands morts...
The Miles- Messages : 1677
Date d'inscription : 09/12/2012
Re: Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
tsi na pah a écrit:vu qu'il n'a pas d'effet HE et qu'un canon n'a pas de blindage, tu as géré comment la destruction du canon par le panzerschek (en terme de règles)?
Désolé pour la réponse tardive. On se posait aussi la question mais à moins que l'on n'ait mal compris, nous avons trouvé la réponse page 77 du livre français. Un canon avec bouclier a un blindage de 6. Seules les armes lourdes peuvent y faire des dégâts et l'on tient compte bien sûr de la pénétration de l'arme. le Panzerschreck a une pénétration de 6 et j'avais (de mémoire) fait un excellent jet de dé donc, dégâts exceptionnels. Si notre compréhension n'est pas la bonne, je suis bien sûr preneur.
A bientôt.
Jean46- Messages : 466
Date d'inscription : 08/07/2015
Age : 64
Localisation : Escamps (Lot 46)
Re: Un enfer 44, la poche de Falaise. Règle BA.
The Miles a écrit:Bon rapport!
C'est marrant, je m'attendait à une victoire british avec tout ces allemands morts...
Finalement en terme d'unités (et en figs) les anglais perdent plus de troupes. De plus, l'allemand gagne 3 pts pour sortir (le panzer IV) et 2 pts pour toute unité dans la zone de défense adverse (plusieurs unités y sont à la fin) et 1 pt pour toute troupe détruite. Les anglais ont perdu un groupe mais surtout, plusieurs petites unités.
Les anglais gagnent 2 pts par troupe allemande détruite , donc 4 x 2.
A+
Jean46- Messages : 466
Date d'inscription : 08/07/2015
Age : 64
Localisation : Escamps (Lot 46)
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