27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
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Siaba
Eric
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27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
Aujourd hui , pas une bataille mais un début de guerre
Contexte historique
La Crimée, successivement occupée par plusieurs peuples, dont les Hérules, les Huns , les Coumans , les Tatars , devenue possession de la République de Gênes, est conquise en 1475 par les Ottomans.
En 1774, Catherine II de Russie oblige l'Empire ottoman à reconnaître l’indépendance de la presqu’île. Neuf ans plus tard, elle annexe le territoire et y implante des colons russes et ukrainiens à côté des Tatars, qui forment la majorité de la population.
Sebastopol devient une importante base navale sur la mer Noire et le principal centre de peuplement russe de la région.
Au milieu XIX ème siècle, la circulation des marchandises se fait essentiellement par mer, car le réseau routier est très mauvais et se révélera un des graves handicaps des armées russes pendant les opérations militaires
Affaire des Lieux saints
ieille ville de Jérusalem, façade du Saint-Sépulcre.
Au-delà de la volonté de l'Empire britannique de contenir la Russie hors de la Méditerranée, la guerre de Crimée a aussi pour contexte lointain un conflit religieux : la querelle opposant Français ( catholiques romains) et Russes (chrétiens orthodoxes) pour la protection des Lieux Saints. Le Vendredi saint 10 avril 1846, une querelle entre les deux communautés religieuses fait plus de 40 morts au Saint-Sépulcre à Jérusalem. La modernisation des transports (chemin de fer, navires à vapeur) a fait exploser le nombre de pèlerins à Jérusalem. Dans les années qui précèdent la guerre, Jérusalem est d'ailleurs l'objet d'une intense concurrence religieuse et diplomatique : les autorités britanniques fondent un évêché anglican, le pape rétablit un patriarche permanent (le premier depuis le XII ème siècle), les Grecs y réinstallent le patriarche de Constantinople, les Français ouvrent un consulat, etc. À cette époque, les Russes forment la majorité des pèlerins, environ 15 000 chaque année.
Ce prétexte est exploité par le pouvoir tsariste pour imposer sa domination sur un Empire ottoman qui semble à sa merci. Depuis l’indépendance grecque, Nicolas Ier ne cesse de penser au démantèlement de l’Empire. Après leurs victoires dans la guerre russo-ottmane (1828-1829) et surtout après le traité d'Unkiar-Skelessi en 1833, les Russes veulent s’assurer le protectorat des peuples slaves et orthodoxes des Balkans pour dominer la plus grande partie de la péninsule. Le but est aussi de s’emparer des détroits (Bosphore , mer de Marmara, Dardanelles) pour obtenir un débouché sur la Méditerranée.
À cette vision impérialiste mêlant religion et volonté de puissance s’oppose celle du gouvernement de Londres. Pour les Britanniques, il s’agit de protéger la route des Indes par le Proche-Orient en empêchant le tsar de prendre pied dans les détroits et sa flotte de faire irruption en Méditerranée orientale.
Quant à la France, en vertu des capitulations conclues en 1535 entre François Ier et Soliman le Magnifique, elle a obtenu que la garde des Lieux saints (église du Saint-Sépulcre et tombeau de la Vierge à Jérusalem, église de la Nativité à Bethléem) soit assurée par des moines latins. Or, depuis la fin du XVIIIe siècle, les pèlerins et les moines orthodoxes sont de plus en plus nombreux à venir en Terre sainte et à s’y fixer afin d’en chasser les franciscains.
À cette date, les relations entre Nicolas Ier et Napoléon III sont courtoises mais sans plus après la proclamation de l’Empire par la France et le refus de l'empereur russe de donner à Napoléon III une épouse parmi les princesses de sa famille. Ni l’un ni l’autre n’ont pris l’échange de piques très au sérieux et ne songent à déclencher une crise pour une simple « querelle de moines ». La question des Lieux saints semble donc réglée. L’accord conclu fin avril et rendu officiel le 5 mai 1853 établit une nouvelle répartition des sanctuaires plus favorable aux pèlerins de rite byzantin. Napoléon III veut bien s’en accommoder. Grâce aux concessions françaises, l’affaire paraît donc entendue. Pourtant, c’est de cette bénigne querelle que naît le premier conflit armé entre puissances de première grandeur qu’ait connu l’Europe depuis 1814.
À la suite du refus ottoman, l'Empire russe fait occuper les principautés roumaines de Moldavie et de Valachie le 1er Juillet 1853. En tant que suzerain de ces principautés chrétiennes qui sont vassales de l' Empire ottoman, le sultan ottoman déclare alors la guerre à la Russie le 4 octobre.
Motifs de l'intervention française
Bien que Napoléon III, empereur de fraîche date, ait affirmé : « L'empire, c'est la paix », il veut manifester sa bonne volonté à l'égard du Royaume-Uni et de la reine Victoria en envoyant des troupes françaises combattre aux côtés des Britanniques pour la défense de l'Empire ottoman et surtout des intérêts britanniques (le maintien dans leurs mains de la route des Indes). Il entraîne dans l'aventure le royaume de Piémont-Sardaigne qui attendait son appui contre l'Autriche. C'est une occasion pour lui de briser l'isolement politique en se montrant l'allié fidèle des Britanniques — chez qui il avait trouvé refuge après son évasion du Fort de Ham en 1846 — sans autre grand profit immédiat pour la France elle-même.
Selon l'ouvrage d'Alain Gouttman La Guerre de Crimée (1853-1856), Napoléon III semble au contraire avoir tout fait pour éviter la guerre, mais une fois celle-ci inévitable, il prend l'initiative avant l'Angleterre, contrairement à ce qui est communément écrit.
Déroulement de la guerre
Les Russes occupent donc les principautés de Moldavie et Valachie, mais Nicolas Ier refuse de franchir le Danube : il craint une réaction autrichienne sur ses frontières, même si l'Autriche proclame sa neutralité dans le conflit. Le général turc Omar Pacha occupe le sud du Danube et harcèle les Russes avec quelques succès.
La guerre se déroule non seulement dans les principautés, mais aussi de l'autre côté de la mer Noire, à l'est. Des éléments ottomans, les bachi-bouzouks, prennent un avant-poste russe et commettent nombre d'atrocités.
Quand les Franco-Britanniques entrent en guerre, le conflit s'élargit à la mer Baltique et même à l'océan Pacifique, où des navires britanniques attaquent les ports russes, sans succès.
Entrée en guerre des Franco-Britanniques
Le Royaume-Uni, qui a poussé le gouvernement ottoman à la résistance, ne peut rester les bras croisés devant une agression dont le but évident est d’assurer à la flotte russe la clé de la Méditerranée orientale. Mais il souhaite ne pas agir seul et s’efforce d’entraîner la France dans l’aventure.
Celle-ci n’a aucun intérêt immédiat à entrer en guerre contre la Russie. Mais Napoléon III voit dans l’entreprise un triple avantage :
Un arrangement paraît néanmoins possible, lorsque l’on apprend, le 30 novembre 1853, la destruction par la flotte russe d’une escadre ottomane dans le port de Sinob, sur la mer Noire, qui soulève une réclamation pleine de colère au Royaume-Uni et en France. Pendant six mois, les pourparlers se poursuivent entre Londres, Paris et Saint-Pétersbourg, mais l’intransigeance du gouvernement russe fait échouer toutes les tentatives de compromis.
Le 29 janvier 1854, Napoléon III adresse à l'empereur russe une lettre personnelle : « Les coups de canons de Sinope ont retenti douloureusement dans les cœurs de tous ceux qui, en Angleterre et en France, ont un vif sentiment de la dignité nationale. » Il fait appel à ses sentiments pacifiques et propose l’évacuation des principautés danubiennes en échange du retrait des flottes occidentales. La réponse de Nicolas Ier est sans appel : « Ma confiance est en Dieu et en mon droit ; et la Russie, j’en suis garant, saura se montrer en 1854 ce qu’elle fut en 1812. » Une semaine plus tard, les ambassadeurs russes quittent Londres et Paris.
Armée de la Grande-Bretagne en Crimée.
Le 12 mars 1854, le Royaume-Uni et la France s’unissent à l'Empire ottoman. Le 14, ils somment la Russie d'évacuer les principautés roumaines et, le 27, leur ultimatum étant resté sans réponse, ils lui déclarent la guerre.
A bientôt
Contexte historique
La Crimée, successivement occupée par plusieurs peuples, dont les Hérules, les Huns , les Coumans , les Tatars , devenue possession de la République de Gênes, est conquise en 1475 par les Ottomans.
En 1774, Catherine II de Russie oblige l'Empire ottoman à reconnaître l’indépendance de la presqu’île. Neuf ans plus tard, elle annexe le territoire et y implante des colons russes et ukrainiens à côté des Tatars, qui forment la majorité de la population.
Sebastopol devient une importante base navale sur la mer Noire et le principal centre de peuplement russe de la région.
Au milieu XIX ème siècle, la circulation des marchandises se fait essentiellement par mer, car le réseau routier est très mauvais et se révélera un des graves handicaps des armées russes pendant les opérations militaires
Affaire des Lieux saints
ieille ville de Jérusalem, façade du Saint-Sépulcre.
Au-delà de la volonté de l'Empire britannique de contenir la Russie hors de la Méditerranée, la guerre de Crimée a aussi pour contexte lointain un conflit religieux : la querelle opposant Français ( catholiques romains) et Russes (chrétiens orthodoxes) pour la protection des Lieux Saints. Le Vendredi saint 10 avril 1846, une querelle entre les deux communautés religieuses fait plus de 40 morts au Saint-Sépulcre à Jérusalem. La modernisation des transports (chemin de fer, navires à vapeur) a fait exploser le nombre de pèlerins à Jérusalem. Dans les années qui précèdent la guerre, Jérusalem est d'ailleurs l'objet d'une intense concurrence religieuse et diplomatique : les autorités britanniques fondent un évêché anglican, le pape rétablit un patriarche permanent (le premier depuis le XII ème siècle), les Grecs y réinstallent le patriarche de Constantinople, les Français ouvrent un consulat, etc. À cette époque, les Russes forment la majorité des pèlerins, environ 15 000 chaque année.
Ce prétexte est exploité par le pouvoir tsariste pour imposer sa domination sur un Empire ottoman qui semble à sa merci. Depuis l’indépendance grecque, Nicolas Ier ne cesse de penser au démantèlement de l’Empire. Après leurs victoires dans la guerre russo-ottmane (1828-1829) et surtout après le traité d'Unkiar-Skelessi en 1833, les Russes veulent s’assurer le protectorat des peuples slaves et orthodoxes des Balkans pour dominer la plus grande partie de la péninsule. Le but est aussi de s’emparer des détroits (Bosphore , mer de Marmara, Dardanelles) pour obtenir un débouché sur la Méditerranée.
À cette vision impérialiste mêlant religion et volonté de puissance s’oppose celle du gouvernement de Londres. Pour les Britanniques, il s’agit de protéger la route des Indes par le Proche-Orient en empêchant le tsar de prendre pied dans les détroits et sa flotte de faire irruption en Méditerranée orientale.
Quant à la France, en vertu des capitulations conclues en 1535 entre François Ier et Soliman le Magnifique, elle a obtenu que la garde des Lieux saints (église du Saint-Sépulcre et tombeau de la Vierge à Jérusalem, église de la Nativité à Bethléem) soit assurée par des moines latins. Or, depuis la fin du XVIIIe siècle, les pèlerins et les moines orthodoxes sont de plus en plus nombreux à venir en Terre sainte et à s’y fixer afin d’en chasser les franciscains.
À cette date, les relations entre Nicolas Ier et Napoléon III sont courtoises mais sans plus après la proclamation de l’Empire par la France et le refus de l'empereur russe de donner à Napoléon III une épouse parmi les princesses de sa famille. Ni l’un ni l’autre n’ont pris l’échange de piques très au sérieux et ne songent à déclencher une crise pour une simple « querelle de moines ». La question des Lieux saints semble donc réglée. L’accord conclu fin avril et rendu officiel le 5 mai 1853 établit une nouvelle répartition des sanctuaires plus favorable aux pèlerins de rite byzantin. Napoléon III veut bien s’en accommoder. Grâce aux concessions françaises, l’affaire paraît donc entendue. Pourtant, c’est de cette bénigne querelle que naît le premier conflit armé entre puissances de première grandeur qu’ait connu l’Europe depuis 1814.
À la suite du refus ottoman, l'Empire russe fait occuper les principautés roumaines de Moldavie et de Valachie le 1er Juillet 1853. En tant que suzerain de ces principautés chrétiennes qui sont vassales de l' Empire ottoman, le sultan ottoman déclare alors la guerre à la Russie le 4 octobre.
Motifs de l'intervention française
Bien que Napoléon III, empereur de fraîche date, ait affirmé : « L'empire, c'est la paix », il veut manifester sa bonne volonté à l'égard du Royaume-Uni et de la reine Victoria en envoyant des troupes françaises combattre aux côtés des Britanniques pour la défense de l'Empire ottoman et surtout des intérêts britanniques (le maintien dans leurs mains de la route des Indes). Il entraîne dans l'aventure le royaume de Piémont-Sardaigne qui attendait son appui contre l'Autriche. C'est une occasion pour lui de briser l'isolement politique en se montrant l'allié fidèle des Britanniques — chez qui il avait trouvé refuge après son évasion du Fort de Ham en 1846 — sans autre grand profit immédiat pour la France elle-même.
Selon l'ouvrage d'Alain Gouttman La Guerre de Crimée (1853-1856), Napoléon III semble au contraire avoir tout fait pour éviter la guerre, mais une fois celle-ci inévitable, il prend l'initiative avant l'Angleterre, contrairement à ce qui est communément écrit.
Déroulement de la guerre
Les Russes occupent donc les principautés de Moldavie et Valachie, mais Nicolas Ier refuse de franchir le Danube : il craint une réaction autrichienne sur ses frontières, même si l'Autriche proclame sa neutralité dans le conflit. Le général turc Omar Pacha occupe le sud du Danube et harcèle les Russes avec quelques succès.
La guerre se déroule non seulement dans les principautés, mais aussi de l'autre côté de la mer Noire, à l'est. Des éléments ottomans, les bachi-bouzouks, prennent un avant-poste russe et commettent nombre d'atrocités.
Quand les Franco-Britanniques entrent en guerre, le conflit s'élargit à la mer Baltique et même à l'océan Pacifique, où des navires britanniques attaquent les ports russes, sans succès.
Entrée en guerre des Franco-Britanniques
Le Royaume-Uni, qui a poussé le gouvernement ottoman à la résistance, ne peut rester les bras croisés devant une agression dont le but évident est d’assurer à la flotte russe la clé de la Méditerranée orientale. Mais il souhaite ne pas agir seul et s’efforce d’entraîner la France dans l’aventure.
Celle-ci n’a aucun intérêt immédiat à entrer en guerre contre la Russie. Mais Napoléon III voit dans l’entreprise un triple avantage :
- elle pourrait lui offrir la gloire militaire dont le nouveau régime a besoin pour se consolider ;
- elle lui permettrait de briser l’isolement diplomatique qui a suivi la proclamation de l’empire, laquelle a réveillé chez les souverains européens les souvenirs des conquêtes napoléoniennes ;
- elle constituerait enfin un moyen d’affaiblir l’une des puissances qui garantissent l’ordre instauré en 1815.
Un arrangement paraît néanmoins possible, lorsque l’on apprend, le 30 novembre 1853, la destruction par la flotte russe d’une escadre ottomane dans le port de Sinob, sur la mer Noire, qui soulève une réclamation pleine de colère au Royaume-Uni et en France. Pendant six mois, les pourparlers se poursuivent entre Londres, Paris et Saint-Pétersbourg, mais l’intransigeance du gouvernement russe fait échouer toutes les tentatives de compromis.
Le 29 janvier 1854, Napoléon III adresse à l'empereur russe une lettre personnelle : « Les coups de canons de Sinope ont retenti douloureusement dans les cœurs de tous ceux qui, en Angleterre et en France, ont un vif sentiment de la dignité nationale. » Il fait appel à ses sentiments pacifiques et propose l’évacuation des principautés danubiennes en échange du retrait des flottes occidentales. La réponse de Nicolas Ier est sans appel : « Ma confiance est en Dieu et en mon droit ; et la Russie, j’en suis garant, saura se montrer en 1854 ce qu’elle fut en 1812. » Une semaine plus tard, les ambassadeurs russes quittent Londres et Paris.
Armée de la Grande-Bretagne en Crimée.
Le 12 mars 1854, le Royaume-Uni et la France s’unissent à l'Empire ottoman. Le 14, ils somment la Russie d'évacuer les principautés roumaines et, le 27, leur ultimatum étant resté sans réponse, ils lui déclarent la guerre.
A bientôt
Eric- Messages : 7645
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 82
Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
L'ami Vladimir a décidé de commémorer cet anniversaire en déclenchant bientôt la deuxième guerre de Crimée
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Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
Oui, comme quoi les leçons du passé ne sont pas toujours retenues...
Fallen_Angel- Messages : 201
Date d'inscription : 10/04/2013
Age : 46
Localisation : Monaco
Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
Ou pas....ce coup-ci, ils semblent bien partis pour éviter une intervention étrangère
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Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
Attendez , Hollande n'a pas dit son dernier mot : il va envoyer 4 avions en Pologne .
Bientôt sur les écrans , la charge des 4 avions
Bientôt sur les écrans , la charge des 4 avions
Eric- Messages : 7645
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 82
Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
Entre les AWACS en Pologne et les 4 avions de chasse au dessus des pays baltes, c'est sûr que l'armée russe doit trembler
Je ne pense pas qu'on irait faire la guerre pour "libérer" l'Ukraine ou la Crimée mais à réduire notre armée pour en faire une force tout juste bonne à faire du maintien de l'ordre ou des opérations commando on en est réduit à regarder la Russie faire ce qu'elle veut en gesticulant pour la forme....
Je ne pense pas qu'on irait faire la guerre pour "libérer" l'Ukraine ou la Crimée mais à réduire notre armée pour en faire une force tout juste bonne à faire du maintien de l'ordre ou des opérations commando on en est réduit à regarder la Russie faire ce qu'elle veut en gesticulant pour la forme....
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Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
Effectivement, on garde une pseudo-armée pour le défilé du 14 juillet... Pathétique... La réaction très molle de la France n'augure rien de bon quand Poutine aura l'idée de s'attaquer à une autre région... A noter que la communauté internationale a globalement peu réagi.
Ouh la je suis sérieux moi ce matin...
Ouh la je suis sérieux moi ce matin...
Fallen_Angel- Messages : 201
Date d'inscription : 10/04/2013
Age : 46
Localisation : Monaco
Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
J'arrète là le sujet .
Parce que je crois que sur un forum on ne doit ni parler de politique , ni parler de religion , .....................ni parler de la femme de son voisin
Parce que je crois que sur un forum on ne doit ni parler de politique , ni parler de religion , .....................ni parler de la femme de son voisin
Eric- Messages : 7645
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 82
Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
Oui sage décision, désolé je me suis un peu emporté, un modo peut éventuellement supprimer mon message s'il le juge nécessaire...
Fallen_Angel- Messages : 201
Date d'inscription : 10/04/2013
Age : 46
Localisation : Monaco
Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
Pas de souci, on discute tranquillement
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Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
Le "Munich 2014 c'est quand exactement et avec qui ?
Car comme il a été dit "il faut étudier et regarder le passé pour en tirer des leçons sur l'avenir" ou quelque chose du même genre, mais c'est vrai que nous intéressant tous à l'Histoire nous pouvons trouver certaines similitudes d'actions et d'actes qui rappellent un passé proche ou lointain et ce n'est plus dans des livres mais sur les écrans TV de tous les jours.
bref il vaut mieux en rester au poussage de figurines de plomb ou plastique c'est moins risqué et plus fun....;
Car comme il a été dit "il faut étudier et regarder le passé pour en tirer des leçons sur l'avenir" ou quelque chose du même genre, mais c'est vrai que nous intéressant tous à l'Histoire nous pouvons trouver certaines similitudes d'actions et d'actes qui rappellent un passé proche ou lointain et ce n'est plus dans des livres mais sur les écrans TV de tous les jours.
bref il vaut mieux en rester au poussage de figurines de plomb ou plastique c'est moins risqué et plus fun....;
carthago92- Messages : 377
Date d'inscription : 23/05/2013
Localisation : Région parisienne
Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
excellent sujet en rapport avec l'actualité Eric !
mrnouillat- Messages : 1148
Date d'inscription : 14/11/2012
Age : 52
Localisation : BOURGES
Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
eric1 a écrit: .....................ni parler de la femme de son voisin
Bah, si elle a la cuisse légère et une tendance à la gourmandise...
Re: 27 mars 1854 Début de la Guerre de Crimée
Bah , c'est toi le patron ! Tu peux faire les exceptions que tu veux
@ Sébastien : je n ' y suis pas pour grand chose ; c ' est la coincidence qui a attiré mon attention
@ Sébastien : je n ' y suis pas pour grand chose ; c ' est la coincidence qui a attiré mon attention
Eric- Messages : 7645
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 82
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