Attaque de tranchées, 14-18. BA.
+3
Siaba
Eric
Jean46
7 participants
Page 1 sur 1
Attaque de tranchées, 14-18. BA.
Salut à tous. Chronologiquement, cette partie fut ma première en bolt action. L’initiateur de cette partie "Klunger" est aussi l'auteur des décors et de la peinture des deux armées. Il faisait tester à l'époque une adaptation à 14-18 de BA pour les commémorations de cette guerre (la partie fut jouée en 2014).
En piste ou plutôt: à l'assaut!!!!!!
Il pleut, il fait froid. Cela fait des mois qu’allemands et français s’observent, s’entretuent à grands coups d’ordres de généraux qui n’économisent ni le sang ni les larmes de leurs hommes.
Aujourd’hui, une fois de plus, (une fois de trop ?), l’Hauptmann Müller a reçu l’ordre de préparer ses troupes et quelques renforts bienvenus. Au total, quatre groupes de huit hommes dont deux équipés de mitrailleuses légères, deux groupes de Sturmstruppen, les terribles nettoyeurs de tranchées et deux lance-flammes. D’après les renseignements de l’état-major, il n’aura à affronter « que » trois groupes de combat français vraisemblablement équipés aussi de mitrailleuses légères et une mitrailleuse sur trépied. Toutefois, il sait par expérience que les français laissent volontairement les premières lignes dégarnies afin de les renforcer, une fois les tirs d’artillerie achevés. Sauf déplacement, il n’ignore d’ailleurs pas qu’un régiment « d’indigènes » enrôlés au service de la France, sont présents dans son secteur. Il les sait redoutables combattants, les français les nomment « tirailleurs sénégalais » et il s’en méfie.
Le capitaine Mercier, couvert de boue regarde ses hommes, assommés par cet orage d’obus. Ils se comptent. Une perte est à déplorer dans un groupe et un servant de la mitrailleuse. Les sous-officiers s’activent ardemment à remettre sur pieds leurs hommes n’ignorant pas l’assaut ennemi imminent. Il a demandé le renfort de tirailleurs sénégalais, combattants hors pairs qui ne laissent aucune chance à leurs ennemis. Arriveront-ils à temps ?
La mitrailleuse française
Vue des tranchées françaises après le bombardement
Le déploiement allemand :
Aile droite : face à la mitrailleuse française, un groupe de Sturmstruppen épaulé d’une équipe de lance-flammes. Au centre, deux groupes de combat suivis de l’Hauptmann Müller, puis un nouveau groupe de Sturmstruppen. Un groupe de combat, une équipe de lance-flammes et afin d’obliger le français à étendre ses lignes avec ses possibles renforts, un dernier groupe de combat face pour l’instant qu’à des barbelés (pas vu sur le cliché).
centre et aile gauche allemande
centre et aile droite allemande
Voilà maintenant des heures que les obus s’abattent dans des sifflements de mort, sur les tranchées ennemies. Avant-hier, c’était l’inverse. Quelques centaines de mètres le séparent de cet enfer que l’Hauptmann Müller ne devine que par la terre soulevée et les nuages noirs qui s’en élèvent. Un silence de mort s’abat tout-à-coup sur le champ de bataille. C’est l’heure ! A l’assaut !
Courir ! Un seul ordre, courir ! A la mort, à la victoire, nul ne sait. Un seul objectif, traverser les lignes françaises et laisser les compagnies suivantes s’occuper des survivants. (Le joueur allemand gagne en faisant sortir un maximum de groupes et le joueur français en éliminant un maximum de groupes allemands).
Profitant de la désorganisation des troupes françaises après le bombardement et de leur possible inaction, l’Hauptmann Müller a ordonné à ses troupes de se déplacer le plus rapidement possible sans chercher à se cacher, le moindre retard peut en effet avoir le résultat contraire de ce que l’on attend. Effectivement, les français encore abasourdis sont loin d’être opérationnels, la mitrailleuse reste muette et seule une perte au centre est à déplorer. A côté, les hommes du groupe de Sturmstruppen ont aussi été touchés mais en vétérans qu’ils sont, aucun d’eux ne mord la poussière.
Les troupes allemandes s'élancent vers leur destin
Attaque générale
Les français attendent l'attaque de pied ferme
Bonne nouvelle côté français, un groupe de tirailleurs arrive et se place aussitôt face à l’aile gauche allemande, c’est-à-dire devant les barbelés comme l’avait souhaité Müller. La défense française est maintenant étendue sur tout le front. Il suffit d’enfoncer un coin au bon endroit ! Comme pour prouver la nécessité de ce choix français, un groupe allemand saute dans une tranchée inoccupée devant ces fameux barbelés. Il pourra ainsi progresser vers les sénégalais à l’abri des tirs. Il profite par ailleurs de sa faible progression pour rafaler à la mitrailleuse légère la tranchée la plus proche et par un coup de chance incroyable, élimine un fantassin ennemi. Le capitaine Mercier, voyant sa mitrailleuse en danger face au lance-flammes et les nettoyeurs de tranchées décide d’aller suivi de son aide, prêter main forte aux servants. L’avancée allemande est rapide et bien rodée. Seul un groupe de fantassin marque une hésitation face au tir ennemi. Malgré des tirs nourris de toute part, seules quelques pertes légères sont à déplorer dont l’équipier du lance-flammes et un nettoyeur de tranchées à l’aile droite, mais globalement l’attaque pour l’instant se passe plutôt bien pour les hommes de l’Hauptmann Müller. Un dernier effort et ce sera le corps à corps, terrible, violent, sans pitié !
Sur l'aile gauche, progression dans une tranchée face aux sénégalais
Positions à la fin du tour 2, centre et aile droite
Positions à la fin du tour 2, centre et aile gauche
Sans laisser le temps aux mitrailleurs ennemis de continuer, le tireur au lance-flammes, anesthésié par la douleur, la peur et la perte de son fidèle équipier, crache ses flammes mortelles sur la position française. Et le résultat est instantané. Les servants, s’écroulent sur place, en flammes !
Quatre jets de flammes réduiront au silence le soutien français
Profitant de la destruction de cette menace importante, les Sturmstruppen sautent aussitôt dans la tranchée et se ruent sur le capitaine Mercier. Grenades, baïonnettes, fusils, fumée, cris, la rage et la peur au ventre, tout pousse à la même sauvagerie, finalement, plus pour sauver sa peau que vaincre l’autre, mais le résultat est le même, les hommes tombent. Et à ce « jeu » là, ce sont les allemands plus nombreux qui gagnent. Le capitaine Mercier ne reverra pas son Languedoc natal, ni son aide d’ailleurs. Côté allemand, sur les six hommes qui forment le groupe au début de l’attaque, seuls deux survivent ! Plutôt que de continuer leur « nettoyage », ceux-ci préfèrent se diriger du côté de la tranchée qui semble inoccupée afin de continuer leur percée. Pendant ce temps, l’infanterie française en approche, les jugeant hors d’atteinte, préfère prendre pour cible le lance-flamme et l’envoie rejoindre son compagnon en enfer !
Le capitaine Mercier tombe face aux Sturmstruppen mais seuls deux survivront/i]
Les deux survivants s'échappent et le LF est éliminé par l'infanterie française
La tranchée centrale est elle aussi assaillie. Aillant déjà perdu un des leurs, ce sont sept allemands contre huit français qui maintenant s’embrochent. Là aussi, la fureur est de mise. Deux allemands tombent, trois français les rejoignent. Le combat continue avec toujours autant de violence, deux autres français disparaissent mais les assaillants sont totalement annihilés. Les trois survivants tricolores n’ont pas vraiment le temps d’apprécier cette première victoire.
Attaque de la tranchée centrale
Et résultat victorieux pour les français
Le sort est moins heureux pour les défenseurs sur l’aile gauche allemande. En effet, six hommes tous vétérans du combat rapprochés bousculent le groupe retranché et cette fois-ci, restent maîtres de la tranchée. Le groupe français est rapidement éliminé pour seulement une perte allemande.
Sturmstruppen à l'assaut
Victoire
Voyant cela, les tirailleurs sénégalais décident de se diriger vers cette tranchée afin de venger leurs frères de combat. Malheureusement, en se découvrant, c’est un des leurs qui tombe puis un autre. Entre temps, le commandant sénégalais arrive sur le terrain en renfort.
Les tirailleurs progressent et subissent deux pertes
Tandis qu’au centre, un nouveau groupe allemand attaque les survivants de la tranchée. Ils ont vu disparaître leurs camarades et veulent le faire payer très cher aux « coupables » !
Assaut mortel, les derniers français succombent
La tranchée est aussitôt réoccupée
Tout se passe conformément aux espoirs de l’Hauptmann Müller. Même si lui-même n’est pas encore dans une tranchée, une bonne partie de ses hommes y est, en ayant éliminé la plupart des français. La victoire est au bout de la tranchée…
Les français, ayant perdu leur capitaine sont dans une situation délicate. Il ne reste qu’un groupe de combat dans les tranchées et un groupe de tirailleurs ainsi que leur chef pour sauver ce qui peut encore l’être. Comble de malchance, suite à une erreur d’orientation, un autre groupe de tirailleurs envoyé en renfort s’est perdu sur le champ de bataille et n’arrivera jamais.
Sur l’aile droite allemande, les deux survivants des Sturmstruppen, continuent à s’enfoncer vers l’intérieur des lignes. Le groupe de combat français à leur poursuite, préfère alors rebrousser chemin afin de s’opposer aux vainqueurs de la tranchée centrale.
Les derniers français se dirigent vers la tranchée centrale
Sur l’aile gauche allemande, l’étau se ressert près des tirailleurs qui subissent une nouvelle perte. Craignant leur combativité, les fantassins allemands font feu de tout bois pour les réduire le plus possible.
Il ne reste plus que cinq tirailleurs avant même d'avoir combattu
Tandis que bien à l’abri de la tranchée, les Sturmstruppen continuent leur progression vers l’intérieur des lignes françaises.
En progression
Vus autrement
Le dernier groupe français
Les allemands tentent maintenant de s'enfoncer dans les lignes ennemies
Il est temps de terminer la partie. Il y a eu quatre tours pour normalement six minimum. Par extrapolation, nous pouvons considérer une victoire allemande très probable. En effet, un groupe (de deux) est déjà prêt à sortir et il reste six groupes encore en formation de combat. Le français n’a plus que trois groupes, un d’infanterie classique, les cinq tirailleurs et leur chef. Le dernier renfort n’entre pas encore à ce tour. Ils ont réalisés deux pertes de groupes allemands. Même en bloquant un ou deux groupes ennemis, ils ne peuvent que difficilement remporter la partie.
Positions finales vues côté français. Les allemands doivent sortir en bas de la photo. Aile droite allemande
Positions finales vues côté français. Les allemands doivent sortir en bas de la photo. Aile gauche allemande
En piste ou plutôt: à l'assaut!!!!!!
Il pleut, il fait froid. Cela fait des mois qu’allemands et français s’observent, s’entretuent à grands coups d’ordres de généraux qui n’économisent ni le sang ni les larmes de leurs hommes.
Aujourd’hui, une fois de plus, (une fois de trop ?), l’Hauptmann Müller a reçu l’ordre de préparer ses troupes et quelques renforts bienvenus. Au total, quatre groupes de huit hommes dont deux équipés de mitrailleuses légères, deux groupes de Sturmstruppen, les terribles nettoyeurs de tranchées et deux lance-flammes. D’après les renseignements de l’état-major, il n’aura à affronter « que » trois groupes de combat français vraisemblablement équipés aussi de mitrailleuses légères et une mitrailleuse sur trépied. Toutefois, il sait par expérience que les français laissent volontairement les premières lignes dégarnies afin de les renforcer, une fois les tirs d’artillerie achevés. Sauf déplacement, il n’ignore d’ailleurs pas qu’un régiment « d’indigènes » enrôlés au service de la France, sont présents dans son secteur. Il les sait redoutables combattants, les français les nomment « tirailleurs sénégalais » et il s’en méfie.
Le capitaine Mercier, couvert de boue regarde ses hommes, assommés par cet orage d’obus. Ils se comptent. Une perte est à déplorer dans un groupe et un servant de la mitrailleuse. Les sous-officiers s’activent ardemment à remettre sur pieds leurs hommes n’ignorant pas l’assaut ennemi imminent. Il a demandé le renfort de tirailleurs sénégalais, combattants hors pairs qui ne laissent aucune chance à leurs ennemis. Arriveront-ils à temps ?
La mitrailleuse française
Vue des tranchées françaises après le bombardement
Le déploiement allemand :
Aile droite : face à la mitrailleuse française, un groupe de Sturmstruppen épaulé d’une équipe de lance-flammes. Au centre, deux groupes de combat suivis de l’Hauptmann Müller, puis un nouveau groupe de Sturmstruppen. Un groupe de combat, une équipe de lance-flammes et afin d’obliger le français à étendre ses lignes avec ses possibles renforts, un dernier groupe de combat face pour l’instant qu’à des barbelés (pas vu sur le cliché).
centre et aile gauche allemande
centre et aile droite allemande
Voilà maintenant des heures que les obus s’abattent dans des sifflements de mort, sur les tranchées ennemies. Avant-hier, c’était l’inverse. Quelques centaines de mètres le séparent de cet enfer que l’Hauptmann Müller ne devine que par la terre soulevée et les nuages noirs qui s’en élèvent. Un silence de mort s’abat tout-à-coup sur le champ de bataille. C’est l’heure ! A l’assaut !
Courir ! Un seul ordre, courir ! A la mort, à la victoire, nul ne sait. Un seul objectif, traverser les lignes françaises et laisser les compagnies suivantes s’occuper des survivants. (Le joueur allemand gagne en faisant sortir un maximum de groupes et le joueur français en éliminant un maximum de groupes allemands).
Profitant de la désorganisation des troupes françaises après le bombardement et de leur possible inaction, l’Hauptmann Müller a ordonné à ses troupes de se déplacer le plus rapidement possible sans chercher à se cacher, le moindre retard peut en effet avoir le résultat contraire de ce que l’on attend. Effectivement, les français encore abasourdis sont loin d’être opérationnels, la mitrailleuse reste muette et seule une perte au centre est à déplorer. A côté, les hommes du groupe de Sturmstruppen ont aussi été touchés mais en vétérans qu’ils sont, aucun d’eux ne mord la poussière.
Les troupes allemandes s'élancent vers leur destin
Attaque générale
Les français attendent l'attaque de pied ferme
Bonne nouvelle côté français, un groupe de tirailleurs arrive et se place aussitôt face à l’aile gauche allemande, c’est-à-dire devant les barbelés comme l’avait souhaité Müller. La défense française est maintenant étendue sur tout le front. Il suffit d’enfoncer un coin au bon endroit ! Comme pour prouver la nécessité de ce choix français, un groupe allemand saute dans une tranchée inoccupée devant ces fameux barbelés. Il pourra ainsi progresser vers les sénégalais à l’abri des tirs. Il profite par ailleurs de sa faible progression pour rafaler à la mitrailleuse légère la tranchée la plus proche et par un coup de chance incroyable, élimine un fantassin ennemi. Le capitaine Mercier, voyant sa mitrailleuse en danger face au lance-flammes et les nettoyeurs de tranchées décide d’aller suivi de son aide, prêter main forte aux servants. L’avancée allemande est rapide et bien rodée. Seul un groupe de fantassin marque une hésitation face au tir ennemi. Malgré des tirs nourris de toute part, seules quelques pertes légères sont à déplorer dont l’équipier du lance-flammes et un nettoyeur de tranchées à l’aile droite, mais globalement l’attaque pour l’instant se passe plutôt bien pour les hommes de l’Hauptmann Müller. Un dernier effort et ce sera le corps à corps, terrible, violent, sans pitié !
Sur l'aile gauche, progression dans une tranchée face aux sénégalais
Positions à la fin du tour 2, centre et aile droite
Positions à la fin du tour 2, centre et aile gauche
Sans laisser le temps aux mitrailleurs ennemis de continuer, le tireur au lance-flammes, anesthésié par la douleur, la peur et la perte de son fidèle équipier, crache ses flammes mortelles sur la position française. Et le résultat est instantané. Les servants, s’écroulent sur place, en flammes !
Quatre jets de flammes réduiront au silence le soutien français
Profitant de la destruction de cette menace importante, les Sturmstruppen sautent aussitôt dans la tranchée et se ruent sur le capitaine Mercier. Grenades, baïonnettes, fusils, fumée, cris, la rage et la peur au ventre, tout pousse à la même sauvagerie, finalement, plus pour sauver sa peau que vaincre l’autre, mais le résultat est le même, les hommes tombent. Et à ce « jeu » là, ce sont les allemands plus nombreux qui gagnent. Le capitaine Mercier ne reverra pas son Languedoc natal, ni son aide d’ailleurs. Côté allemand, sur les six hommes qui forment le groupe au début de l’attaque, seuls deux survivent ! Plutôt que de continuer leur « nettoyage », ceux-ci préfèrent se diriger du côté de la tranchée qui semble inoccupée afin de continuer leur percée. Pendant ce temps, l’infanterie française en approche, les jugeant hors d’atteinte, préfère prendre pour cible le lance-flamme et l’envoie rejoindre son compagnon en enfer !
Le capitaine Mercier tombe face aux Sturmstruppen mais seuls deux survivront/i]
Les deux survivants s'échappent et le LF est éliminé par l'infanterie française
La tranchée centrale est elle aussi assaillie. Aillant déjà perdu un des leurs, ce sont sept allemands contre huit français qui maintenant s’embrochent. Là aussi, la fureur est de mise. Deux allemands tombent, trois français les rejoignent. Le combat continue avec toujours autant de violence, deux autres français disparaissent mais les assaillants sont totalement annihilés. Les trois survivants tricolores n’ont pas vraiment le temps d’apprécier cette première victoire.
Attaque de la tranchée centrale
Et résultat victorieux pour les français
Le sort est moins heureux pour les défenseurs sur l’aile gauche allemande. En effet, six hommes tous vétérans du combat rapprochés bousculent le groupe retranché et cette fois-ci, restent maîtres de la tranchée. Le groupe français est rapidement éliminé pour seulement une perte allemande.
Sturmstruppen à l'assaut
Victoire
Voyant cela, les tirailleurs sénégalais décident de se diriger vers cette tranchée afin de venger leurs frères de combat. Malheureusement, en se découvrant, c’est un des leurs qui tombe puis un autre. Entre temps, le commandant sénégalais arrive sur le terrain en renfort.
Les tirailleurs progressent et subissent deux pertes
Tandis qu’au centre, un nouveau groupe allemand attaque les survivants de la tranchée. Ils ont vu disparaître leurs camarades et veulent le faire payer très cher aux « coupables » !
Assaut mortel, les derniers français succombent
La tranchée est aussitôt réoccupée
Tout se passe conformément aux espoirs de l’Hauptmann Müller. Même si lui-même n’est pas encore dans une tranchée, une bonne partie de ses hommes y est, en ayant éliminé la plupart des français. La victoire est au bout de la tranchée…
Les français, ayant perdu leur capitaine sont dans une situation délicate. Il ne reste qu’un groupe de combat dans les tranchées et un groupe de tirailleurs ainsi que leur chef pour sauver ce qui peut encore l’être. Comble de malchance, suite à une erreur d’orientation, un autre groupe de tirailleurs envoyé en renfort s’est perdu sur le champ de bataille et n’arrivera jamais.
Sur l’aile droite allemande, les deux survivants des Sturmstruppen, continuent à s’enfoncer vers l’intérieur des lignes. Le groupe de combat français à leur poursuite, préfère alors rebrousser chemin afin de s’opposer aux vainqueurs de la tranchée centrale.
Les derniers français se dirigent vers la tranchée centrale
Sur l’aile gauche allemande, l’étau se ressert près des tirailleurs qui subissent une nouvelle perte. Craignant leur combativité, les fantassins allemands font feu de tout bois pour les réduire le plus possible.
Il ne reste plus que cinq tirailleurs avant même d'avoir combattu
Tandis que bien à l’abri de la tranchée, les Sturmstruppen continuent leur progression vers l’intérieur des lignes françaises.
En progression
Vus autrement
Le dernier groupe français
Les allemands tentent maintenant de s'enfoncer dans les lignes ennemies
Il est temps de terminer la partie. Il y a eu quatre tours pour normalement six minimum. Par extrapolation, nous pouvons considérer une victoire allemande très probable. En effet, un groupe (de deux) est déjà prêt à sortir et il reste six groupes encore en formation de combat. Le français n’a plus que trois groupes, un d’infanterie classique, les cinq tirailleurs et leur chef. Le dernier renfort n’entre pas encore à ce tour. Ils ont réalisés deux pertes de groupes allemands. Même en bloquant un ou deux groupes ennemis, ils ne peuvent que difficilement remporter la partie.
Positions finales vues côté français. Les allemands doivent sortir en bas de la photo. Aile droite allemande
Positions finales vues côté français. Les allemands doivent sortir en bas de la photo. Aile gauche allemande
Jean46- Messages : 466
Date d'inscription : 08/07/2015
Age : 65
Localisation : Escamps (Lot 46)
Re: Attaque de tranchées, 14-18. BA.
Extraordinaire !
Quel décors
Que de belles figs
Quel bon récit
Et que ce fut dur ! on ressent toutes les difficultés des combattants
BRAVO a tous
Quel décors
Que de belles figs
Quel bon récit
Et que ce fut dur ! on ressent toutes les difficultés des combattants
BRAVO a tous
Eric- Messages : 7645
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 82
Re: Attaque de tranchées, 14-18. BA.
La table de jeu est particulièrement impressionnante.
_________________
- Do you ever feel lonely?
- Only around people.
Re: Attaque de tranchées, 14-18. BA.
Superbe table , et rapport ça valait le coup d'attendre !
mrnouillat- Messages : 1148
Date d'inscription : 14/11/2012
Age : 52
Localisation : BOURGES
Re: Attaque de tranchées, 14-18. BA.
Impressionnant; ça donne envie de s'y mettre!
Quelqu'un a t-il testé BA pour la période guerre de mouvement 1914?
Quelqu'un a t-il testé BA pour la période guerre de mouvement 1914?
Re: Attaque de tranchées, 14-18. BA.
Celebrimbor a écrit:Impressionnant; ça donne envie de s'y mettre!
Quelqu'un a t-il testé BA pour la période guerre de mouvement 1914?
Non mais je joue à BA en Guerre civile espagnole. On n'a rien changé à la règle, toutes les troupes sont présentes....il suffit juste de prendre 5 minutes pour les "caractériser". Donc, ça doit pas être compliqué de jouer "1914".
_________________
- Do you ever feel lonely?
- Only around people.
Re: Attaque de tranchées, 14-18. BA.
Super rapport!
Quel tigre ce mercier quand même! Quatre morts à deux!
Quel tigre ce mercier quand même! Quatre morts à deux!
The Miles- Messages : 1676
Date d'inscription : 09/12/2012
Sujets similaires
» Attaque de Bouraque LDT
» Attaque au Tonkin
» L'Attaque des Shawnees [Mousquets & Tomahawks V2]
» [IABSM] Attaque sur Galmanche Juillet 1944
» Et quand l'Empire contre attaque.
» Attaque au Tonkin
» L'Attaque des Shawnees [Mousquets & Tomahawks V2]
» [IABSM] Attaque sur Galmanche Juillet 1944
» Et quand l'Empire contre attaque.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum