Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
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Werewulf
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niko
-Gamot-
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Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς.
" L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Anacharsis
....................................;
Petit rapport de bataille antique
Sicile, IV siècle avant notre ère.
Une guerre civile entraine l'exil d'une faction lors de luttes fratricides à Syracuse.
Les exilés parviennent, avec l'aide d'un corps expéditionnaire spartiate (armée d'Antoine "coureur de char") à contrôler une petite cité sur la côte.
Le parti adverse, se précipite à leur rencontre.
Règle jouée: DBA 3.0 mais à deux corps par armée. La démoralisation de l'armée n'aura lieu que lorsque 1,5 corps d'un camp sera démoralisé.
La rangée de cyprès le long de la route n'a qu'une fonction décorative. Le temple compte en city, le champ en rough going et le bord de mer en waterway. Le bois est évidemment du terrain difficile.
Fonds musical possible pour ce rapport de bataille (j'ai acheté l'album chez Cultura et il est top comme musique d' ambiance pour les batailles grecques de l'antiquité):
" L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Anacharsis
....................................;
Petit rapport de bataille antique
Sicile, IV siècle avant notre ère.
Une guerre civile entraine l'exil d'une faction lors de luttes fratricides à Syracuse.
Les exilés parviennent, avec l'aide d'un corps expéditionnaire spartiate (armée d'Antoine "coureur de char") à contrôler une petite cité sur la côte.
Le parti adverse, se précipite à leur rencontre.
Règle jouée: DBA 3.0 mais à deux corps par armée. La démoralisation de l'armée n'aura lieu que lorsque 1,5 corps d'un camp sera démoralisé.
La rangée de cyprès le long de la route n'a qu'une fonction décorative. Le temple compte en city, le champ en rough going et le bord de mer en waterway. Le bois est évidemment du terrain difficile.
Fonds musical possible pour ce rapport de bataille (j'ai acheté l'album chez Cultura et il est top comme musique d' ambiance pour les batailles grecques de l'antiquité):
Dernière édition par -Gamot- le Mer 11 Mai - 21:08, édité 2 fois
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
La flotte légaliste menace le flanc droit des alliés spartiates des rebelles. La menace n'est que psychologique car nulle unité n'a été embarquée en vue d'un débarquement offensif.
Les unités spartiates se déploient le long d'une petite route poussiéreuse, à l'ombre des cyprès.
... sur leur gauche, les rebelles syracusains occupent la plaine qui les sépare de la cité. UNe petite unité d'hoplites garde les remparts de la ville.
Face à la cité, le petit bois est ccupé par les psiloi légalistes flanquant leurs hoplites. Le sous général légaliste asure la jonction entre hoplites et psiloi.
Les unités spartiates se déploient le long d'une petite route poussiéreuse, à l'ombre des cyprès.
... sur leur gauche, les rebelles syracusains occupent la plaine qui les sépare de la cité. UNe petite unité d'hoplites garde les remparts de la ville.
Face à la cité, le petit bois est ccupé par les psiloi légalistes flanquant leurs hoplites. Le sous général légaliste asure la jonction entre hoplites et psiloi.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Laile gauche légaliste vue depuis les lignes rebelles. Les cavaliers légers s'élancent sur la plage.
Autre vue de l'aile droite légaliste
Le centre légaliste s'appuie sur une puissante force d'artillerie.
Les mercenaires ibériques et quelques psiloi se répandent comme des sauterelles dans les champs.
Autre vue de l'aile droite légaliste
Le centre légaliste s'appuie sur une puissante force d'artillerie.
Les mercenaires ibériques et quelques psiloi se répandent comme des sauterelles dans les champs.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Le champs de bataille vu depuis l'arrière des lignes rebelles.
Le général rebelle, à la tête de la colonne des hoplites est flanqué par ses cavaliers légers.
Ses alliés spartiates assurent la protection de son flanc droit.
Le général rebelle, à la tête de la colonne des hoplites est flanqué par ses cavaliers légers.
Ses alliés spartiates assurent la protection de son flanc droit.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
La garnison rebelle de la cité.
Les lignes rebelles
... et le centre des lignes légalistes leur faisant face.
La faible cavalerie spartiate et les Homoioi, général compris, se tournent pour faire face à la menace montée galopant vers eux le long de la plage.
Les lignes rebelles
... et le centre des lignes légalistes leur faisant face.
La faible cavalerie spartiate et les Homoioi, général compris, se tournent pour faire face à la menace montée galopant vers eux le long de la plage.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Sur l'autre aile du champs de bataille, la garnison rebelle, épaulée par sa propre cavalerie, se rue extramuros pour contrer les psiloi ennemis aventurés dans la plaine.
Les lourds hoplites légalistes peinent à rejoindre leurs psiloi afin de leur assurer un soutien efficace.
L'aile gauche légaliste assiste aux manoeuvres spartiates dirigées vers sa cavalerie légère.
Les lourds hoplites légalistes peinent à rejoindre leurs psiloi afin de leur assurer un soutien efficace.
L'aile gauche légaliste assiste aux manoeuvres spartiates dirigées vers sa cavalerie légère.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Balles de fronde et javelots jaillisent de la pentecontère pour appuyer leur cavalerie légère.
Vue du champs de bataille au second tour de jeu.
Les manoeuvres d'infanterie devant les murs de la cité.
Vue du champs de bataille au second tour de jeu.
Les manoeuvres d'infanterie devant les murs de la cité.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Superbe ! la suite, la suite .....
niko- Messages : 1121
Date d'inscription : 18/03/2014
Age : 54
Localisation : Neuilly sur Marne
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Une colonne d'hoplites rebelles avance entre les Spartiates et l'infanterie légère composée d'archers psiloi et de mercenaires ligures.
Le gros des forces spartiates tient fièrement la plaine.
Le mur d'airain présenté par les Homoioi neutralise la tentative d'enveloppement des cavaliers légalistes.
Une explication sérieuse semble se dessiner entre rebelles et légalistes syracusains.
Le gros des forces spartiates tient fièrement la plaine.
Le mur d'airain présenté par les Homoioi neutralise la tentative d'enveloppement des cavaliers légalistes.
Une explication sérieuse semble se dessiner entre rebelles et légalistes syracusains.
_________________
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Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
niko a écrit:Superbe ! la suite, la suite .....
La voici:
Les lignes d'hoplites s'organisent face à la cité.
Côté rebelle, sur le flanc de la cavalerie, les Ligures restent prudement en retrait car, pour de simples mercenaires face aux redoutables hoplites il se souviennent que "Παν μέτρον άριστον" ("La modération est la meilleure des choses"). .
Vue du champs de bataille:
Les phalanges légalistes se ruent sur une petite unité d'archers rebelles afin de les disperser avant le véritable choc frontal contre les hoplites ennemis.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Comme cela était prévisible, les archers rebelles fuient dès le premier contact avec les hoplites légalistes.
face au front de mer, le mur des homoioi ayant stoppé la cavalerie légaliste, la cavalerie spartiate entame un mouvement derrière ses lignes, se dirigeant vers le centre du champs de bataille...
... alors que, justement au centre, les mercenaires Ibères des forces légalistes cherchent par leurs cris et provocations à attirer la phalange spartiate vers l'artillerie.
En pure perte car, au terme du troisième tour de jeu, aucune pièce d'artillerie (des deux camps) n'a encore tiré le moindre projectile.
face au front de mer, le mur des homoioi ayant stoppé la cavalerie légaliste, la cavalerie spartiate entame un mouvement derrière ses lignes, se dirigeant vers le centre du champs de bataille...
... alors que, justement au centre, les mercenaires Ibères des forces légalistes cherchent par leurs cris et provocations à attirer la phalange spartiate vers l'artillerie.
En pure perte car, au terme du troisième tour de jeu, aucune pièce d'artillerie (des deux camps) n'a encore tiré le moindre projectile.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Vue du champ de bataille depuis la pentecontère.
... et depuis le camp légaliste.
..............
Suite de la bataille une prochaine fois car les combattants furent stoppéspar madame Gamot appellant les généraux à la soupe par la déesse Athéna se précipitant dans la bataille pour séparer provisoirement les combattants.
... et depuis le camp légaliste.
..............
Suite de la bataille une prochaine fois car les combattants furent stoppés
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Et Madame Gamot lança : η σούπα είναι έτοιμη! ( la soupe est prête !)
niko- Messages : 1121
Date d'inscription : 18/03/2014
Age : 54
Localisation : Neuilly sur Marne
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Magnifique, figurines et décor, tout y est
TOF- Messages : 408
Date d'inscription : 20/03/2016
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Vraiment génial et surtout très détaillé, j'apprécie de pouvoir voir tous les mouvements de troupe au tour par tour. La qualité de la table et des figurines vient apporter la cerise sur la feta!
Werewulf- Messages : 247
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 39
Localisation : Pays Biturige
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Un reprortage si détaillé que j' ai l' impression d' y ètre
Merci
Merci
Eric- Messages : 7645
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 82
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
La suite de la bataille (j'ai un peu moins réduit les photos)
..............................................................................................
Le choc des phalanges devant la cité.
Afin de contrer le mouvement de la cavalerie spartiate et de menacer le pivot de ces fichus Lacédémoniens, les hoplites syracusains de l'aile gauche se ruent en colonne vers l'ennemi.
L'artillerie rebelle se dirige vers cette nouvelle menace mais sa lenteur rendra cette manoeuvre inutile.
Sur la plage, le général spartiate, encadré de deux phalanges d'homoioi , cherche à rejeter la cavalerie syracusaine à la mer.
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Le choc des phalanges devant la cité.
Afin de contrer le mouvement de la cavalerie spartiate et de menacer le pivot de ces fichus Lacédémoniens, les hoplites syracusains de l'aile gauche se ruent en colonne vers l'ennemi.
L'artillerie rebelle se dirige vers cette nouvelle menace mais sa lenteur rendra cette manoeuvre inutile.
Sur la plage, le général spartiate, encadré de deux phalanges d'homoioi , cherche à rejeter la cavalerie syracusaine à la mer.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Les mercenaires ibères flanquent la droite de la colonne se ruant contre le pivot spartiate.
Le général rebelle et deux phalanges d'hoplites protègent, quant à eux, le flanc gauche de leurs alliés venus de Sparte.
La menace sur le pivot devient préoccupante pour les Lacédémoniens.
L'artillerie syracusaine débute ses tirs. Ils ne cesseront plus de la bataille, les traits vétant tirés vers les Spartiates à chaque tour. La seule victime de ces pièces est un lièvre qui batifolait sur la trajectoire (les observateurs impartiaux ne sont même pas sûr pour le lièvre. Il semble qu'il ait juste succombé à une indigestion)
Le général rebelle et deux phalanges d'hoplites protègent, quant à eux, le flanc gauche de leurs alliés venus de Sparte.
La menace sur le pivot devient préoccupante pour les Lacédémoniens.
L'artillerie syracusaine débute ses tirs. Ils ne cesseront plus de la bataille, les traits vétant tirés vers les Spartiates à chaque tour. La seule victime de ces pièces est un lièvre qui batifolait sur la trajectoire (les observateurs impartiaux ne sont même pas sûr pour le lièvre. Il semble qu'il ait juste succombé à une indigestion)
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Le choc des hoplites devant la cité, vu depuis l'arrière des lignes rebelles.
Les rebelles et leurs alliés spartiates parviennent, malgré les inoffensifs traits de l'artillerie ennemie, à couper en deux l'armée syracusaine.
Le général rebelle tombe sur le flanc d'une phalange légaliste trop avancée dans les lignes adverses.
Les archers légalistes tentent en vain de ralentir l'avance spartiate.
Les rebelles et leurs alliés spartiates parviennent, malgré les inoffensifs traits de l'artillerie ennemie, à couper en deux l'armée syracusaine.
Le général rebelle tombe sur le flanc d'une phalange légaliste trop avancée dans les lignes adverses.
Les archers légalistes tentent en vain de ralentir l'avance spartiate.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Les combats vus depuis la plage:
La pression spartiate (malgré le recul sans conséquence de leur général) se révèle virulente. Les hoplites syracusains sont sur le reculoir et une unité de cavaliers se disperse en se précipitant dans la mer :
Les lignes rebelles se referment sur les légalistes.
Les phalanges syracusaines étendant leurs lignes sur le pivot spartiate, ces derniers lancent leur cavalerie pour contrer ou ralentir la menace.
La pression spartiate (malgré le recul sans conséquence de leur général) se révèle virulente. Les hoplites syracusains sont sur le reculoir et une unité de cavaliers se disperse en se précipitant dans la mer :
Les lignes rebelles se referment sur les légalistes.
Les phalanges syracusaines étendant leurs lignes sur le pivot spartiate, ces derniers lancent leur cavalerie pour contrer ou ralentir la menace.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Malgré les pertes, les aristocrates syracusains à cheval restent une menace réelle pour l'aile droite spartiate. (même si l'un des cavaliers a perdu sa lance mal collée )
Face à la cité, les combats tournent à l'avantage des rebelles. Des troupes légères légalistes s'élancent pour combler les brèches mais seront bientôt inquiétées par les Ligures que l'on voit pointer en bas à droite de la photo.
Moment crucial de la bataille. Alors qu'il semblait prendre le dessus sur les Spartiates en ce point du champs de bataille, le général syracusain est contacté sur le flanc par une phalange d'homoioi qui avait dispersé l'unité de cavalerie lui faisant face.
Reculant sous la pression, le général et sa garde se dipsersent, entrainant la fuite de leur corps d'armée.
L'aile gauche des Syracusains légalistes s' effondre.
Face à la cité, les combats tournent à l'avantage des rebelles. Des troupes légères légalistes s'élancent pour combler les brèches mais seront bientôt inquiétées par les Ligures que l'on voit pointer en bas à droite de la photo.
Moment crucial de la bataille. Alors qu'il semblait prendre le dessus sur les Spartiates en ce point du champs de bataille, le général syracusain est contacté sur le flanc par une phalange d'homoioi qui avait dispersé l'unité de cavalerie lui faisant face.
Reculant sous la pression, le général et sa garde se dipsersent, entrainant la fuite de leur corps d'armée.
L'aile gauche des Syracusains légalistes s' effondre.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Les mercenaires ibères, qui étaient pourtant si fiers d' avoir fait reculer une phalange spartiate peu de temps aparavant, sont parmi les premiers fuyards à rejoindre la sécurité relative offerte par les cultures.
Des fuyards sont rattrapés par les poursuivants. Ils repousseront vaillement ces derniers mais ces combats ne font qu'amplifier la terreur de leur camarades qui continuent de fuir.
Sur l'aile opposée, les hoplites légalistes tentent crânement leur chance. Les mercenaires ligures au service des rebelles entrent au contact.
Vue de la ligne de front.
Des fuyards sont rattrapés par les poursuivants. Ils repousseront vaillement ces derniers mais ces combats ne font qu'amplifier la terreur de leur camarades qui continuent de fuir.
Sur l'aile opposée, les hoplites légalistes tentent crânement leur chance. Les mercenaires ligures au service des rebelles entrent au contact.
Vue de la ligne de front.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Les derniers combats devant la cité.
Refugiés dans le petit bois, les psiloi légalistes n'osent plus s' avanturer au dehors.
Vers l front de mer, la poursuite continue.
Refugiés dans le petit bois, les psiloi légalistes n'osent plus s' avanturer au dehors.
Vers l front de mer, la poursuite continue.
Re: Πολέμιον ανθρώποις αυτοί εαυτοίς. " L’ennemi de l’homme, c’est lui même"
Les hoplites légalistes chargés de protéger leur artillerie voient, avec crainte, approcher dangereusement l'ennemi.
Face à eux, l'artillerie rebelle et son escorte se disent que gagner une bataille sans avoir tiré ni combattu est très reposant.[/url]
A ce moment de la bataille, on ne sait plus si les généraux spartiate procèdent à des sacrifices religieux ou préparent le frichti d' après bataille...
.....................................................................
Lorsque le soir tombe, les rebelles et leurs alliés ont remporté une belle victoire. Leur principal adversaire, le général syracusain, a disparu. Il est encore trop tôt pour savoir si il a pu regagné Syracuse ou si son corps sera retrouvé sur la plage.
Le lendemain, les rebelles marcheront contre la capitale.
Face à eux, l'artillerie rebelle et son escorte se disent que gagner une bataille sans avoir tiré ni combattu est très reposant.[/url]
A ce moment de la bataille, on ne sait plus si les généraux spartiate procèdent à des sacrifices religieux ou préparent le frichti d' après bataille...
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Lorsque le soir tombe, les rebelles et leurs alliés ont remporté une belle victoire. Leur principal adversaire, le général syracusain, a disparu. Il est encore trop tôt pour savoir si il a pu regagné Syracuse ou si son corps sera retrouvé sur la plage.
Le lendemain, les rebelles marcheront contre la capitale.
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