Les puniques patinent sur la route de Rome
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darkness
korre
Ogier
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Les puniques patinent sur la route de Rome
Oyé oyé.
Ci dessous l'histoire non officielle et remplie de honte de la pacification de la route vers Rome.
Et j'aime mieux vous le dire ... La route sera longue et semée d'embûches
(Petit apparté: je découvre le règle je m'amuse, les photos sont ne sont pas parfaites niveau compréhension des événements ou mise en lumière du combat et de la classe des protagonistes...mais j'essaie. Je mets des petites animations pour m'amuser et j'espère pour comprendre ce qu'il se passe).
Si Rome ne s'est pas fait en un jour.. sa conquête non plus.
L'invasion d'Hannibal a du faire un détour par la zone commerciale de la celtique.
Les locaux n'étant jamais contre une bonne bagarre.
Voici leurs exploits oubliés ....
SwordPoint-725 pts.
A l'image d'un touristique bellovaque, les troupes puniques pensaient profiter du paysage sans rien acheter au locaux... Grave erreur que d'irriter ainsi les habitants d'une région tourisque de premier ordre...
Les guerres Celtes sont bien décidés à exiger l'ecotaxe de ces visiteurs qui ne font qu'un arrêt a l'aire de péage.
Côté Carthage..le citoyen parfumé éduqué et lavé est quelque peu offusqué par la présence de ce lointain cousin qui est venu en nombre on se croirait un black friday a Massilia !
Ce sera dans une formule sandwich tenté par les Celtes ... Hélas pas assez bien assaisonnée pour déclencher une tourista éclair chez les visiteurs.
Les puniques, de leur côté, nous font un flanc refusé. Pas de formule dessert pour eux.
Le tout sous les cris frustrés des Celtes, ou les vivats des plus sots, souvent encore puceaux, qui ont interprèté cela comme une fuite.
A la hauteur de leur réputations. Les Celtes préfèrent attaquer de façon désordonnés et eparce.
Sans grand effet.
Si l'assaut initial patine... C'est mal parti pour leue faire voir du pays...
[/url
Une seconde warband de Jette avec rage sur ces indésirables touristes qui viennent souiller nos paysages bucoliques par leur présence.
Passer la fureur et la stupeur ...et bien rien.
Et ça, ça devient mauvais signe à force.
[url=https://servimg.com/view/17597676/505]
Pire... la cavalerie celte qui a tenté une prise de flanc, est terrorisée par l'odeur inhabituelle d'une très grosse vache grise avec un sexe en place de la truffe (vision perturbante aussi). La cavalerie décidé donc de fuir plus loin, comme les jeunots en tirailleurs.
C'est alors que le facteur X apparaît.
Les fanatiques, poussés par des tirailleurs libyens aguicheurs, décident de les empêcher de ramasser des champignons dans les bois... Ils se retrouvent alors sur le flanc des citoyens carthaginois...la plus faible des phallanges. Ne comptez pas sur le mur de bouclier pour protéger leur flanc...
Deux warbands sur le coin de la figurine dont une sur les reins ...c'en est trop ... Ils n'ont pas signés pour cela. Et ils marchent sur leurs sandales en fuyant ..pas loin.
Voilà le celte qui perfore la ligne de bataille, punissant les puniques. La phallanges lybienne n'a pas envie de se retrouver seule ici et préfère procéder à un regroupement tactique, également appelé fuite.
La grosse vache grise et sans poil, attaque la warband celte en fourbe par derrière.
C'est le moment de bascule ...
Forcément, les Celtes sont pas chauds et se replie (en avant).
La cavalerie punique, ces pleutres sans honneur jouent leur va tout en tentant de repousser les fanatiques.
Ahah...une charge de cavalerie de pleutres, de face, contre des guerriers vaillants (ignorent leur premier jet de moral).. bref, c'est une charge sans intérêt.
Sur l'autre flanc, le gros des forces Celtes ne fait rien depuis le début.
C'est très mal élevé d'une part, et très gênant pour le grand chef qui n'a ainsi point pu prouver sa vaillance!
Les cheveaux des chars piaffent d'impatience...mais foncer sur un mur de piques n'est pas une bonne idée.
C'est l'hallali... Les hordes de Celtes sortent de partout se ruent sur l'ennemi par millier. Que dis je par millions (voilà que je me prends pour un César a exagérer les effectifs s'affrontant).
Bref ...les mercenaires ne sont pas assez payés pour faire face.
Ce coup ci les puniques jettent l'éponge, et retour a la frontière pour panser ses plaies.
Heureusement, la culture celte étant basée sur l'oral, cette défaite honteuse sera oubliée d'ici une génération.
Ci dessous l'histoire non officielle et remplie de honte de la pacification de la route vers Rome.
Et j'aime mieux vous le dire ... La route sera longue et semée d'embûches
(Petit apparté: je découvre le règle je m'amuse, les photos sont ne sont pas parfaites niveau compréhension des événements ou mise en lumière du combat et de la classe des protagonistes...mais j'essaie. Je mets des petites animations pour m'amuser et j'espère pour comprendre ce qu'il se passe).
Si Rome ne s'est pas fait en un jour.. sa conquête non plus.
L'invasion d'Hannibal a du faire un détour par la zone commerciale de la celtique.
Les locaux n'étant jamais contre une bonne bagarre.
Voici leurs exploits oubliés ....
SwordPoint-725 pts.
A l'image d'un touristique bellovaque, les troupes puniques pensaient profiter du paysage sans rien acheter au locaux... Grave erreur que d'irriter ainsi les habitants d'une région tourisque de premier ordre...
Les guerres Celtes sont bien décidés à exiger l'ecotaxe de ces visiteurs qui ne font qu'un arrêt a l'aire de péage.
Côté Carthage..le citoyen parfumé éduqué et lavé est quelque peu offusqué par la présence de ce lointain cousin qui est venu en nombre on se croirait un black friday a Massilia !
Ce sera dans une formule sandwich tenté par les Celtes ... Hélas pas assez bien assaisonnée pour déclencher une tourista éclair chez les visiteurs.
Les puniques, de leur côté, nous font un flanc refusé. Pas de formule dessert pour eux.
Le tout sous les cris frustrés des Celtes, ou les vivats des plus sots, souvent encore puceaux, qui ont interprèté cela comme une fuite.
A la hauteur de leur réputations. Les Celtes préfèrent attaquer de façon désordonnés et eparce.
Sans grand effet.
Si l'assaut initial patine... C'est mal parti pour leue faire voir du pays...
[/url
Une seconde warband de Jette avec rage sur ces indésirables touristes qui viennent souiller nos paysages bucoliques par leur présence.
Passer la fureur et la stupeur ...et bien rien.
Et ça, ça devient mauvais signe à force.
[url=https://servimg.com/view/17597676/505]
Pire... la cavalerie celte qui a tenté une prise de flanc, est terrorisée par l'odeur inhabituelle d'une très grosse vache grise avec un sexe en place de la truffe (vision perturbante aussi). La cavalerie décidé donc de fuir plus loin, comme les jeunots en tirailleurs.
C'est alors que le facteur X apparaît.
Les fanatiques, poussés par des tirailleurs libyens aguicheurs, décident de les empêcher de ramasser des champignons dans les bois... Ils se retrouvent alors sur le flanc des citoyens carthaginois...la plus faible des phallanges. Ne comptez pas sur le mur de bouclier pour protéger leur flanc...
Deux warbands sur le coin de la figurine dont une sur les reins ...c'en est trop ... Ils n'ont pas signés pour cela. Et ils marchent sur leurs sandales en fuyant ..pas loin.
Voilà le celte qui perfore la ligne de bataille, punissant les puniques. La phallanges lybienne n'a pas envie de se retrouver seule ici et préfère procéder à un regroupement tactique, également appelé fuite.
La grosse vache grise et sans poil, attaque la warband celte en fourbe par derrière.
C'est le moment de bascule ...
Forcément, les Celtes sont pas chauds et se replie (en avant).
La cavalerie punique, ces pleutres sans honneur jouent leur va tout en tentant de repousser les fanatiques.
Ahah...une charge de cavalerie de pleutres, de face, contre des guerriers vaillants (ignorent leur premier jet de moral).. bref, c'est une charge sans intérêt.
Sur l'autre flanc, le gros des forces Celtes ne fait rien depuis le début.
C'est très mal élevé d'une part, et très gênant pour le grand chef qui n'a ainsi point pu prouver sa vaillance!
Les cheveaux des chars piaffent d'impatience...mais foncer sur un mur de piques n'est pas une bonne idée.
C'est l'hallali... Les hordes de Celtes sortent de partout se ruent sur l'ennemi par millier. Que dis je par millions (voilà que je me prends pour un César a exagérer les effectifs s'affrontant).
Bref ...les mercenaires ne sont pas assez payés pour faire face.
Ce coup ci les puniques jettent l'éponge, et retour a la frontière pour panser ses plaies.
Heureusement, la culture celte étant basée sur l'oral, cette défaite honteuse sera oubliée d'ici une génération.
Ogier- Messages : 515
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 40
Localisation : Rueil-Malmaison
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
Même lieu, mêmes beligereants, mais nouveau général adverse ...et ce coup ci je suis carthaginois ce coup ci.
Ce coup ci les puniques sont bien décidés à passé en force ... Ce ne sont pas les énarques gaulois dissipés et désorganisés qui vont lui dire où aller et quand rentrer chez lui !! On n'est pas des sauvages ! 🤫 n'est ce pas ?
(Bon j'ai pas tout bien pris en photos, désolé).
Sur le flanc droit ma cavalerie va tenter de calmer les chars et de retarder la Horde sauvage.
Les levées numides foncent, avec inconscience, devant, pour se faire snober par les nobles gaulois sur chars qui veulent en découdre avec la cavalerie punique planquée à la lisière des bois.
Au centre deux puissantes lignes de batailles avancent l'une vers l'autre. Bon ..les Celtes avancent plus vite, mais les puniques ont une lenteur néanmoins pleine de détermination !
Sur le flanc gauche, un autre escadron de chars traverse les lignes des tirailleurs... S'apprête à foncer sur l'éléphant , quand d'un acte plein d'autorité, les cheveaux leurs rappellent qu'ils ne le sentent pas (ce gros animal) . Mais pas de panique.
L'éléphant, tout ragaillardi par le doute des montures, décide de foncer dans le tas, pour montrer à tous, qui c'est qui a la plus grosse. Hélas, bien mal lui en a pris.
Car jamais autant le proverbe "mieux vaut une petite active, qu'une grosse fainéante" ne se sera appliqué...
Après ses échecs consternant au combat, la multitude d'ennemis, leur présence hostile sur les flancs, et le javelot qui a empalé un membre de son équipage, le voici bien décidé à retrouver ses rassurantes plaines d'Asie, immédiatement. Tant pis pour ce flanc.
Sur le flanc droit Hamilcar a tout misé sur la botte secrète de Hanon ,audacieux officier de cavalerie punique.. A savoir la chance sur un malentendu.
Et on était pas loin de réussir...
Mieux. Les pouilleux de levées numides se mettent à tenter leur va tout en prenant le flanc et en s'exposant ainsi dangereusement...
Ça passe ou ça casse... C'est pas comme si l'autre flanc avait déjà pèté ...déjà au moral, les gaulois ne sont pas impressionnés..'et au corps a corps, c'est pire (ils n'ont pas affaire aux redoutés boys de Massinissa là!!)
Mais quand ça ne veut pas, ça ne veut pas ...
A ce moment de la partie, je n'ai jamais gagné le jet d'initiative, j'ai raté tous mes tests de panique et mes attaques ne brillent pas par leur dangerosité...
Ce qui devait arrivé arriva. Les Celtes, avinés et bien excités, me tombent sur sur le flanc. Je vous passe les détails.. je m'attendais a pire niveau violence toutefois.
Ça suffit à faire paniquer ma cavalerie (numide et carthaginoise). Cette dernière ne trouvant rien de mieux à faire que se coincer dans les étriers (on ne sait pas trop ce que cela veut dire d'ailleurs, qu'est ce donc que cette diablerie) pour finir sous les roues du char d'un chef qui s'empresse de collecter la tête de notre brave Hanon.
Les numides, au moins, ont la délicatesse de rentrer vivre une vie d'hermite dans leur beau pays ensoleillé.
Au milieu... On avance dans la guerre psychologique préalable. Doucement pour les Celtes, qui évitent ainsi les charges désordonnées pour ne pas se faire recevoir chacun son tour (quelle discipline surhumaine !) Et tout aussi doucement pour Carthage ... Si ce n'est que là, le doute les envahi a l'idée de ne plus avoir de flanc...
Aaaah enfin on se rentre dedans.
Mieux...une unité d'hoplites mercenaire a même l'audace de charger les Celtes ..quel toupet.
Mieux...ils repoussent l'ennemi.
Le reste de la ligne de bataille en murs de boucliers, plient mais ne rompt point (même si la phallanges citoyenne, était a un poil de cul de mouche de rentrer aussi, histoire d'affraiter une galère -charter tant la liste des volontaires au rapatriement a la frontière s'allonge).
Hamilcar s'epoumone, mais pas en vain, car ses gars brillent et prélèvent un bon quote part de Celtes.
Ensuite ça se savate sec. C'est maintenant qu'il faut mettre un bon coup de rein. Car les flancs Celtes sont en train de nous préparer une vacherie d'ici 2 tours ....
Et justement une première.phallange commence à repousser l'ennemi...qui combat sur les talons.
Ah la vacherie... Plus tôt que prévu l'escadron intact de chars qui avait mis en déroute l'éléphant, tappe les flancs des mercenaires hoplites...malgré leur commandement d'elite et le fait qu'ils sont en train de gagner, ces foireux jettent leur hoplons..et se barrent ...
Et l'honneur alors ? Ça compte pas??!
On n'aurait peut être pas dû ergoter sur le paiement des soldes.
Mais, alors que tout espoir s'éteint..le coup de génie ... Le général en chef celte sur le bouclier (preuve qu'il ne devait déjà pas être bien portant la veille de la bataille), s'effondre, les tripes à l'air, et personne ne sait qui a eu ce geste de génie...(personne à récompenser ainsi )
Bien entendu. Ça fou un coup dur au moral des Celtes.
Déjà au corps a corps ce n'était plus la fête une fois passé l'élan préliminaire. Ensuite, l'unité du chef qui de barre, ça créer pas mal de désertions, mais voir le cadavre du chef de faire piétiner.... Là c'est le coup de grâce... Plusieurs bandes se mettent à partir fuir a qui mieux mieux, pour être à la maison le premier, à en dépasser même la phallange qui poursuivait leur regretté chef, c'est vous dire !
Mortecouille ! La conclusion aurait pu être belle, si la première phallange de mercenaires en fuite n'avait pas fini sous les roues des chars (de vraies moissonneuse batteuses à puniques ceux la!)
Tandis que la seconde phallange de mercenaires, tout aussi inspiré, detalle elle aussi, suite à une charge de flanc de rien du tout (de l'autre flanc celte qui a fini par me tomber dessus avec une precision de métronome helvétique).
Aaah ils ont tout gâchés ces mercenaires !!! Ce qui est finalement assez réaliste.
La photo presque finale... Histoire de voir que les deux lignes ont sauté et que c'est le bazar.
Ce coup ci les puniques sont bien décidés à passé en force ... Ce ne sont pas les énarques gaulois dissipés et désorganisés qui vont lui dire où aller et quand rentrer chez lui !! On n'est pas des sauvages ! 🤫 n'est ce pas ?
(Bon j'ai pas tout bien pris en photos, désolé).
Sur le flanc droit ma cavalerie va tenter de calmer les chars et de retarder la Horde sauvage.
Les levées numides foncent, avec inconscience, devant, pour se faire snober par les nobles gaulois sur chars qui veulent en découdre avec la cavalerie punique planquée à la lisière des bois.
Au centre deux puissantes lignes de batailles avancent l'une vers l'autre. Bon ..les Celtes avancent plus vite, mais les puniques ont une lenteur néanmoins pleine de détermination !
Sur le flanc gauche, un autre escadron de chars traverse les lignes des tirailleurs... S'apprête à foncer sur l'éléphant , quand d'un acte plein d'autorité, les cheveaux leurs rappellent qu'ils ne le sentent pas (ce gros animal) . Mais pas de panique.
L'éléphant, tout ragaillardi par le doute des montures, décide de foncer dans le tas, pour montrer à tous, qui c'est qui a la plus grosse. Hélas, bien mal lui en a pris.
Car jamais autant le proverbe "mieux vaut une petite active, qu'une grosse fainéante" ne se sera appliqué...
Après ses échecs consternant au combat, la multitude d'ennemis, leur présence hostile sur les flancs, et le javelot qui a empalé un membre de son équipage, le voici bien décidé à retrouver ses rassurantes plaines d'Asie, immédiatement. Tant pis pour ce flanc.
Sur le flanc droit Hamilcar a tout misé sur la botte secrète de Hanon ,audacieux officier de cavalerie punique.. A savoir la chance sur un malentendu.
Et on était pas loin de réussir...
Mieux. Les pouilleux de levées numides se mettent à tenter leur va tout en prenant le flanc et en s'exposant ainsi dangereusement...
Ça passe ou ça casse... C'est pas comme si l'autre flanc avait déjà pèté ...déjà au moral, les gaulois ne sont pas impressionnés..'et au corps a corps, c'est pire (ils n'ont pas affaire aux redoutés boys de Massinissa là!!)
Mais quand ça ne veut pas, ça ne veut pas ...
A ce moment de la partie, je n'ai jamais gagné le jet d'initiative, j'ai raté tous mes tests de panique et mes attaques ne brillent pas par leur dangerosité...
Ce qui devait arrivé arriva. Les Celtes, avinés et bien excités, me tombent sur sur le flanc. Je vous passe les détails.. je m'attendais a pire niveau violence toutefois.
Ça suffit à faire paniquer ma cavalerie (numide et carthaginoise). Cette dernière ne trouvant rien de mieux à faire que se coincer dans les étriers (on ne sait pas trop ce que cela veut dire d'ailleurs, qu'est ce donc que cette diablerie) pour finir sous les roues du char d'un chef qui s'empresse de collecter la tête de notre brave Hanon.
Les numides, au moins, ont la délicatesse de rentrer vivre une vie d'hermite dans leur beau pays ensoleillé.
Au milieu... On avance dans la guerre psychologique préalable. Doucement pour les Celtes, qui évitent ainsi les charges désordonnées pour ne pas se faire recevoir chacun son tour (quelle discipline surhumaine !) Et tout aussi doucement pour Carthage ... Si ce n'est que là, le doute les envahi a l'idée de ne plus avoir de flanc...
Aaaah enfin on se rentre dedans.
Mieux...une unité d'hoplites mercenaire a même l'audace de charger les Celtes ..quel toupet.
Mieux...ils repoussent l'ennemi.
Le reste de la ligne de bataille en murs de boucliers, plient mais ne rompt point (même si la phallanges citoyenne, était a un poil de cul de mouche de rentrer aussi, histoire d'affraiter une galère -charter tant la liste des volontaires au rapatriement a la frontière s'allonge).
Hamilcar s'epoumone, mais pas en vain, car ses gars brillent et prélèvent un bon quote part de Celtes.
Ensuite ça se savate sec. C'est maintenant qu'il faut mettre un bon coup de rein. Car les flancs Celtes sont en train de nous préparer une vacherie d'ici 2 tours ....
Et justement une première.phallange commence à repousser l'ennemi...qui combat sur les talons.
Ah la vacherie... Plus tôt que prévu l'escadron intact de chars qui avait mis en déroute l'éléphant, tappe les flancs des mercenaires hoplites...malgré leur commandement d'elite et le fait qu'ils sont en train de gagner, ces foireux jettent leur hoplons..et se barrent ...
Et l'honneur alors ? Ça compte pas??!
On n'aurait peut être pas dû ergoter sur le paiement des soldes.
Mais, alors que tout espoir s'éteint..le coup de génie ... Le général en chef celte sur le bouclier (preuve qu'il ne devait déjà pas être bien portant la veille de la bataille), s'effondre, les tripes à l'air, et personne ne sait qui a eu ce geste de génie...(personne à récompenser ainsi )
Bien entendu. Ça fou un coup dur au moral des Celtes.
Déjà au corps a corps ce n'était plus la fête une fois passé l'élan préliminaire. Ensuite, l'unité du chef qui de barre, ça créer pas mal de désertions, mais voir le cadavre du chef de faire piétiner.... Là c'est le coup de grâce... Plusieurs bandes se mettent à partir fuir a qui mieux mieux, pour être à la maison le premier, à en dépasser même la phallange qui poursuivait leur regretté chef, c'est vous dire !
Mortecouille ! La conclusion aurait pu être belle, si la première phallange de mercenaires en fuite n'avait pas fini sous les roues des chars (de vraies moissonneuse batteuses à puniques ceux la!)
Tandis que la seconde phallange de mercenaires, tout aussi inspiré, detalle elle aussi, suite à une charge de flanc de rien du tout (de l'autre flanc celte qui a fini par me tomber dessus avec une precision de métronome helvétique).
Aaah ils ont tout gâchés ces mercenaires !!! Ce qui est finalement assez réaliste.
La photo presque finale... Histoire de voir que les deux lignes ont sauté et que c'est le bazar.
Dernière édition par Ogier le Dim 21 Mar - 13:35, édité 1 fois
Ogier- Messages : 515
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 40
Localisation : Rueil-Malmaison
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
Armées et tables magnifiques.
korre- Messages : 270
Date d'inscription : 19/01/2014
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
Magnifique table et figurines
Magnifique CR
Magnifique CR
darkness- Messages : 1063
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 56
Localisation : VIERZON
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
Super compte rendu, j'ai bien rigolé! La chance sur un malentendu est une technique valable, sauf quand on a la poisse !
Kakitaxav- Messages : 438
Date d'inscription : 17/07/2016
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
Du temps à passé ..une génération même...
Le vieil Hamilcar n'a jamais pu concrétiser ses rêves d'invasion en passant par la celtique... Son fils pourtant, va tenter de réaliser la vision de son père ...
C'est reparti... Les lames sont aiguisées, les armures sont lustrées et l'appel à la guerre est décrété...
[SwordPoint-1000pts-gallic contre Carthage tardif-deploiement caché]
Le flanc gauche (du point de vu du rédacteur) est constitué de chars menés par le chef Toujourplusvix et de Celtes malodorantes en quantité.
Le centre est fait d'une ligne ininterrompue de guerriers (c'est simple, le déploiement caché n'a pas pu être respecté tant la ligne de Celtes était longue!)
Les chefs s'avancent pour balancer leurs salades rituelles, à base d'insultes, d'intimidations, de vantardises vis à vis de leur bravoure ou celles de leurs ancêtres, de mot pas gentils concernant les parents de leurs rivaux du jour et de funestes promesses de collectionner la tête de leurs ennemis . Ce petit spectacle impressionne toujours le gars et met l'ennemi chez l'ennemi...
Le chef, Prendpasderix, s'economise. En guise de litière, il est porté sur un grand bouclier par de féroces soldats.
Le même bouclier que celui où son père Raplaplas l'infirme fut tué contre les troupes de Carthage, il y a de cela une génération...
Le flanc droit est tenu par une autre unité de nobles sur chars. Dirigé par le beau frère semi-debile du chef du flanc gauche, le presque noble Beaucoupmoinsvix.
Et les forces publiques me direz vous ? Enfin pour les deux du premiers rangs qui suivent...
J'y viens. Déjà ...ça tient en une seule photo.
C'est une armée solide. Avec beaucoup de cavalerie... C'est a double tranchant car les chars Celtes leurs sont supérieurs...
Les vétérans libyens ont hâte de briller.
Le reste de l'armée aussi...un peu trop peut être...
Sans doute trop confiant, ou galvanisés par les sous entendus sur leurs mères, les numides foncent droit sur les chars afin de les javeloniser à bout portant.
Cruelle désillusion... Le javelots de plantent en priorité dans la caisse des chars mais pas sur l'équipage. En retour ils prennent une volées de javelots et de cailloux... impressionnés ils tournent talons...et finiront pas quitter le champs de bataille.
10% de l'armée vient de partir ...par Tanit ... Les augures ne sont pas favorables!
N'ayant pas apprécié lui même les remarques sur la mauvaise fortune de son aïeux, et fidèle à ses principes agressifs, Hannibal fonce pour ne pas laisser le doute s'immiscer dans les rangs de ses troupes...
La cavalerie Étrusque et ibère tournent autour des chars à la recherche d'une situation préférencielle, avant de (rapidement) perdre patience. Les ibères chargent les chars et les étrusques font reculer les frondeurs .
C'est déjà un moment décisif.
Vétérans de nombreux combats , les ibères font merveilles. Hélas, leur ardeur au combat n'a pas d'équivalence dans leurs talents défensifs. Ce long combat s'éternisera plusieurs tours.
Sur l'autre flanc, les tirailleurs puniques tentent de javeloniser les chars (ça avait tellement bien marché auparavant ....). Les chars de Beaucoupmoinsvix se laissent malgré tout impressionnés par la masse compacte de fantassins lourds qui suivent les tirailleurs.
La cavalerie étrusque se joint à la fête. Face a l'imminence du choc avec l'infanterie celte, elle tente le tout pour le tout, et charge droit sur l'infanterie, ce qui n'est pas recommandé mais toujours préférable que de se faire charger son même.
Finalement, ça ne sais pas si mal passé. Mais cette situation ne pourra pas durer longtemps.
De son côté, l'éléphant a eu la bougeotte, et à traverser le champ de bataille vers le flanc droit, où il se résigne à charger les fanatiques. Là encore , ça ne se passe pas si mal, forçant les fanatiques à reculer en désordre.
Ça tombe bien, car le centre.du champs de bataille est seulement animé par le combat des glandus. Deux unités de tirailleurs s'affrontent mollement, les javeliniers Libyens veulent reculer quand ils se découvrent encerclés par leurs alliés, ils paniquent et fuient dans un chaos indescriptible...ah les cons !
L'éléphant lui, n'a que faire de ces histoires de petits êtres roses, et poursuit ça poussée, bientôt rejoint par les tirailleurs ibères qui se disent qu'il y a peut-être un coup à jouer par ici....
Et effectivement l'éléphant a poussé les fanatiques, ces derniers bien que pugnaces , sont déjà bien secoués, et commencent à reculer sur les talons, en désordre, emmenant avec eux une autre bande alliée qui les supportait
N'allez toutefois pas croire que les choses se passent bien pour Carthage à ce moment précis, inexorablement, la marée celte est en train d'envelopper les forces puniques. Prendpasderix le gaulois, quoique somnolant à force de passivité, ne s'est pas reposé sur ses lauriers ...
Si Hannibal ne perce pas bientôt le centre celte, ses forces seront attaquées de tous les côtés. D'ailleurs, cette idée de fixer le centre adverse pour mieux envelopper l'ennemi sur les ailes lui semble étonnament inspirant, il y a un truc a creuser ...
[Tout à coup, une chose incroyable, complètement improbable, se passe. Les deux généraux se sont mis d'accord pour panser leurs blessures se sustenter et se redonnent rendez-vous exactement au même endroit le lendemain, pour mettre un point final à cet affrontement crépusculaire.]
A SUIVRE PAR BAAL !!
Le vieil Hamilcar n'a jamais pu concrétiser ses rêves d'invasion en passant par la celtique... Son fils pourtant, va tenter de réaliser la vision de son père ...
C'est reparti... Les lames sont aiguisées, les armures sont lustrées et l'appel à la guerre est décrété...
[SwordPoint-1000pts-gallic contre Carthage tardif-deploiement caché]
Le flanc gauche (du point de vu du rédacteur) est constitué de chars menés par le chef Toujourplusvix et de Celtes malodorantes en quantité.
Le centre est fait d'une ligne ininterrompue de guerriers (c'est simple, le déploiement caché n'a pas pu être respecté tant la ligne de Celtes était longue!)
Les chefs s'avancent pour balancer leurs salades rituelles, à base d'insultes, d'intimidations, de vantardises vis à vis de leur bravoure ou celles de leurs ancêtres, de mot pas gentils concernant les parents de leurs rivaux du jour et de funestes promesses de collectionner la tête de leurs ennemis . Ce petit spectacle impressionne toujours le gars et met l'ennemi chez l'ennemi...
Le chef, Prendpasderix, s'economise. En guise de litière, il est porté sur un grand bouclier par de féroces soldats.
Le même bouclier que celui où son père Raplaplas l'infirme fut tué contre les troupes de Carthage, il y a de cela une génération...
Le flanc droit est tenu par une autre unité de nobles sur chars. Dirigé par le beau frère semi-debile du chef du flanc gauche, le presque noble Beaucoupmoinsvix.
Et les forces publiques me direz vous ? Enfin pour les deux du premiers rangs qui suivent...
J'y viens. Déjà ...ça tient en une seule photo.
C'est une armée solide. Avec beaucoup de cavalerie... C'est a double tranchant car les chars Celtes leurs sont supérieurs...
Les vétérans libyens ont hâte de briller.
Le reste de l'armée aussi...un peu trop peut être...
Sans doute trop confiant, ou galvanisés par les sous entendus sur leurs mères, les numides foncent droit sur les chars afin de les javeloniser à bout portant.
Cruelle désillusion... Le javelots de plantent en priorité dans la caisse des chars mais pas sur l'équipage. En retour ils prennent une volées de javelots et de cailloux... impressionnés ils tournent talons...et finiront pas quitter le champs de bataille.
10% de l'armée vient de partir ...par Tanit ... Les augures ne sont pas favorables!
N'ayant pas apprécié lui même les remarques sur la mauvaise fortune de son aïeux, et fidèle à ses principes agressifs, Hannibal fonce pour ne pas laisser le doute s'immiscer dans les rangs de ses troupes...
La cavalerie Étrusque et ibère tournent autour des chars à la recherche d'une situation préférencielle, avant de (rapidement) perdre patience. Les ibères chargent les chars et les étrusques font reculer les frondeurs .
C'est déjà un moment décisif.
Vétérans de nombreux combats , les ibères font merveilles. Hélas, leur ardeur au combat n'a pas d'équivalence dans leurs talents défensifs. Ce long combat s'éternisera plusieurs tours.
Sur l'autre flanc, les tirailleurs puniques tentent de javeloniser les chars (ça avait tellement bien marché auparavant ....). Les chars de Beaucoupmoinsvix se laissent malgré tout impressionnés par la masse compacte de fantassins lourds qui suivent les tirailleurs.
La cavalerie étrusque se joint à la fête. Face a l'imminence du choc avec l'infanterie celte, elle tente le tout pour le tout, et charge droit sur l'infanterie, ce qui n'est pas recommandé mais toujours préférable que de se faire charger son même.
Finalement, ça ne sais pas si mal passé. Mais cette situation ne pourra pas durer longtemps.
De son côté, l'éléphant a eu la bougeotte, et à traverser le champ de bataille vers le flanc droit, où il se résigne à charger les fanatiques. Là encore , ça ne se passe pas si mal, forçant les fanatiques à reculer en désordre.
Ça tombe bien, car le centre.du champs de bataille est seulement animé par le combat des glandus. Deux unités de tirailleurs s'affrontent mollement, les javeliniers Libyens veulent reculer quand ils se découvrent encerclés par leurs alliés, ils paniquent et fuient dans un chaos indescriptible...ah les cons !
L'éléphant lui, n'a que faire de ces histoires de petits êtres roses, et poursuit ça poussée, bientôt rejoint par les tirailleurs ibères qui se disent qu'il y a peut-être un coup à jouer par ici....
Et effectivement l'éléphant a poussé les fanatiques, ces derniers bien que pugnaces , sont déjà bien secoués, et commencent à reculer sur les talons, en désordre, emmenant avec eux une autre bande alliée qui les supportait
N'allez toutefois pas croire que les choses se passent bien pour Carthage à ce moment précis, inexorablement, la marée celte est en train d'envelopper les forces puniques. Prendpasderix le gaulois, quoique somnolant à force de passivité, ne s'est pas reposé sur ses lauriers ...
Si Hannibal ne perce pas bientôt le centre celte, ses forces seront attaquées de tous les côtés. D'ailleurs, cette idée de fixer le centre adverse pour mieux envelopper l'ennemi sur les ailes lui semble étonnament inspirant, il y a un truc a creuser ...
[Tout à coup, une chose incroyable, complètement improbable, se passe. Les deux généraux se sont mis d'accord pour panser leurs blessures se sustenter et se redonnent rendez-vous exactement au même endroit le lendemain, pour mettre un point final à cet affrontement crépusculaire.]
A SUIVRE PAR BAAL !!
Ogier- Messages : 515
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 40
Localisation : Rueil-Malmaison
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
Toujours aussi beau.
korre- Messages : 270
Date d'inscription : 19/01/2014
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
bravo. quelle splendide armée
eric2- Messages : 110
Date d'inscription : 14/04/2020
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
Toujours aussi beau
darkness- Messages : 1063
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 56
Localisation : VIERZON
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
La suite et la conclusion....
Pleine de fracas et fureur !
C'est pas perdu mais c'est mal embarqué, alors un plan simple s'impose.
Later le flanc droit et temporiser le flanc gauche avec mes relicats de cavalerie.
Déjà. Sur le flanc droit mes libyens ont l'outrecuidance de charger les chars de Beaucoupmoinsvix. Ouf...ce dernier voulait s'envoyer mes ibères et le général de dos...
L'éléphant se remet à marteler les fanatiques. CS derniers prennent cher et l'éléphant fait preuve d'une résilience appréciable. Les fanatiques tournent cosaque et s'enfuient pour rentrer dans leur oppidum.
Enfin la deux lignes de percutent...MAIS ce sont les carthaginois qui sautent a la gorge de leurs adversaires.
Le rend chef celte, Prendpasderix, fidèle à sa réputation, se retire de façon inélégante de son régiment pour les envoyer servir de filet, un longue ligne, entre les deux flancs. Ces méthodes sont indignes de la fierté celte pas teutatès.
Las...des morts mais pas assez pour doucher les barbares!
Parmi les charges celle des furieux ibères. Leur lancé de lances de jet Lourdes fait de terrible ravages, prélude à un terrible corps a corps où les Celtes trouvent à qui parler. Le tout sous le encouragements et les appels à la vaillance du charismatique leader punique.
Les Celtes sont ébranlés reculent dans un début de panique, encore contenu, mais le chef fini transpercé par un trait. En voilà un de plus qui ne nous embettera plus...
L'éléphant et les tirailleurs ibères s'approchent pour la curée finale (avec un rire machiavélique du mahout).
Sur le flanc gauche le flanc dominé par la foule barbare, la cavalerie de Hanon de sentent acculée preferent charger pour mourir dans l'ivresse de la gloire.
Ces fous ne savaient pas que c'était impossible ... Alors ils l'ont fait et réaliser un carnage. Face au nombre, ils prefereront se replier plus tard, pour revenir, peut être, ultérieurement, peut être, ..ou pas.
A l'extrême gauche, hasdrubal, qui a pris un sale coup fini sous la roue d'un char, au moins ne pourra t-il voir ses compagnons lutter, en pure perte, jusqu'à la mort.
Ce Toujourplusvix, que Molloch le dévore, doit être de la descendance du puissant Achille
Retour sur le flanc droit.
Hors caméra, l'infanterie lourde punique met en déroute les chars celte de Beaucoupmoinsvix. Gloire a Tanit qui veille sur ses enfants!
L'éléphant, drôlement motivée aujourd'hui à l'idée d'écraser les petits êtres rose, donne le coup de grâce, sous les yeux impuissants de Prendpasderix... Et n'y revenez pas !
Au centre, les flancs gauche et droit rappliquent, dans la confusion la plus totale.
Les vétérans ont pris la charge celte ...(la 1ere warband à charger...), Tiennent malgré des perte significatives, mais rendent coup pour coup, et mieux encore, retraitent dans la discipline. Cette action permet ainsi à l'infanterie préalablement vainqueur des chars, d'impacter avec violence le fragile cordon celte , qui explose dans un amas de plaies et de cri de souffrance.Prendspasderix ère désormais seul, au milieu des cadavres de ses troupes d'élite.
Jamais repu de sang, les hordes innombrables de barbares continuent de déferler , avant que les fils de Carthage n'aient le temps de de reformer face a une nouvelle menace.
Le combat final...les vétérans prennent un warband sur le flanc, ce qui ne dit jamais plaisir, mais s'en sortent pas si mal... (Les mauvaise langue, des chroniqueurs romains corrompus et intéressés diront qu'ils furent mis en pièce, ne parvenant pas à s'extraire de la nace de leurs propres alliés .
Mais pas de cela dans ma propres chroniques..
Bilan. Forcément on maîtrise de plus en plus vite le jeu.
Les 3 unites ibères m'ont apporté un vrai plus niveau stratégique.
Enfin l'éléphant a été bon. Amusant..c'était la 1ere fois que je le jouais au centre de mon dispositif.
La cavalerie ... Je n'y arrive pas.
Roland a joué les Celtes avec la prudence grecque, j'ai joué avec l'esprit de la furia celte mes carthaginois...
Hélas ...il faut du sang frais, une 3eme faction, car Les parties de ressemblent, les flancs outrageusement dominés par les chars Celtes , un centre perforé par l'infanterie lourde carthaginoise.
L'armée celte était complètement closed order, on a testé, des open order manquent.
Comme souvent, je fais ma mauvaise tête en commencant la partie la tête dans le sceau, avant de relèver cette même tête avec dignité, mais il me manque toujours une unité sacrifiée trop tôt (et bêtement...dur un coup de tête) pour conclure. Il faut que je garde en tête ces apprentissage pour mûrir comme général.
J'ai sorti mon nouveau tapis et les nouvelles forêts, j'étais ravi !
Pleine de fracas et fureur !
C'est pas perdu mais c'est mal embarqué, alors un plan simple s'impose.
Later le flanc droit et temporiser le flanc gauche avec mes relicats de cavalerie.
Déjà. Sur le flanc droit mes libyens ont l'outrecuidance de charger les chars de Beaucoupmoinsvix. Ouf...ce dernier voulait s'envoyer mes ibères et le général de dos...
L'éléphant se remet à marteler les fanatiques. CS derniers prennent cher et l'éléphant fait preuve d'une résilience appréciable. Les fanatiques tournent cosaque et s'enfuient pour rentrer dans leur oppidum.
Enfin la deux lignes de percutent...MAIS ce sont les carthaginois qui sautent a la gorge de leurs adversaires.
Le rend chef celte, Prendpasderix, fidèle à sa réputation, se retire de façon inélégante de son régiment pour les envoyer servir de filet, un longue ligne, entre les deux flancs. Ces méthodes sont indignes de la fierté celte pas teutatès.
Las...des morts mais pas assez pour doucher les barbares!
Parmi les charges celle des furieux ibères. Leur lancé de lances de jet Lourdes fait de terrible ravages, prélude à un terrible corps a corps où les Celtes trouvent à qui parler. Le tout sous le encouragements et les appels à la vaillance du charismatique leader punique.
Les Celtes sont ébranlés reculent dans un début de panique, encore contenu, mais le chef fini transpercé par un trait. En voilà un de plus qui ne nous embettera plus...
L'éléphant et les tirailleurs ibères s'approchent pour la curée finale (avec un rire machiavélique du mahout).
Sur le flanc gauche le flanc dominé par la foule barbare, la cavalerie de Hanon de sentent acculée preferent charger pour mourir dans l'ivresse de la gloire.
Ces fous ne savaient pas que c'était impossible ... Alors ils l'ont fait et réaliser un carnage. Face au nombre, ils prefereront se replier plus tard, pour revenir, peut être, ultérieurement, peut être, ..ou pas.
A l'extrême gauche, hasdrubal, qui a pris un sale coup fini sous la roue d'un char, au moins ne pourra t-il voir ses compagnons lutter, en pure perte, jusqu'à la mort.
Ce Toujourplusvix, que Molloch le dévore, doit être de la descendance du puissant Achille
Retour sur le flanc droit.
Hors caméra, l'infanterie lourde punique met en déroute les chars celte de Beaucoupmoinsvix. Gloire a Tanit qui veille sur ses enfants!
L'éléphant, drôlement motivée aujourd'hui à l'idée d'écraser les petits êtres rose, donne le coup de grâce, sous les yeux impuissants de Prendpasderix... Et n'y revenez pas !
Au centre, les flancs gauche et droit rappliquent, dans la confusion la plus totale.
Les vétérans ont pris la charge celte ...(la 1ere warband à charger...), Tiennent malgré des perte significatives, mais rendent coup pour coup, et mieux encore, retraitent dans la discipline. Cette action permet ainsi à l'infanterie préalablement vainqueur des chars, d'impacter avec violence le fragile cordon celte , qui explose dans un amas de plaies et de cri de souffrance.Prendspasderix ère désormais seul, au milieu des cadavres de ses troupes d'élite.
Jamais repu de sang, les hordes innombrables de barbares continuent de déferler , avant que les fils de Carthage n'aient le temps de de reformer face a une nouvelle menace.
Le combat final...les vétérans prennent un warband sur le flanc, ce qui ne dit jamais plaisir, mais s'en sortent pas si mal... (Les mauvaise langue, des chroniqueurs romains corrompus et intéressés diront qu'ils furent mis en pièce, ne parvenant pas à s'extraire de la nace de leurs propres alliés .
Mais pas de cela dans ma propres chroniques..
Bilan. Forcément on maîtrise de plus en plus vite le jeu.
Les 3 unites ibères m'ont apporté un vrai plus niveau stratégique.
Enfin l'éléphant a été bon. Amusant..c'était la 1ere fois que je le jouais au centre de mon dispositif.
La cavalerie ... Je n'y arrive pas.
Roland a joué les Celtes avec la prudence grecque, j'ai joué avec l'esprit de la furia celte mes carthaginois...
Hélas ...il faut du sang frais, une 3eme faction, car Les parties de ressemblent, les flancs outrageusement dominés par les chars Celtes , un centre perforé par l'infanterie lourde carthaginoise.
L'armée celte était complètement closed order, on a testé, des open order manquent.
Comme souvent, je fais ma mauvaise tête en commencant la partie la tête dans le sceau, avant de relèver cette même tête avec dignité, mais il me manque toujours une unité sacrifiée trop tôt (et bêtement...dur un coup de tête) pour conclure. Il faut que je garde en tête ces apprentissage pour mûrir comme général.
J'ai sorti mon nouveau tapis et les nouvelles forêts, j'étais ravi !
Ogier- Messages : 515
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 40
Localisation : Rueil-Malmaison
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
bien agreable à lire . merci
eric2- Messages : 110
Date d'inscription : 14/04/2020
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
Des CR de bataille comme on les aime et de superbes figurines !
Encore Encore Encore
Encore Encore Encore
la batterie des 4 moulins- Messages : 822
Date d'inscription : 02/12/2012
Age : 51
Localisation : MENDE
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
Bjr, hormis le fait que le compte rendu est sympa, je trouve la peinture vraiment extra. Mais j'aimerai savoir quel est le type de vernis utilisé, il m'a tout l'air d'être légèrement satiné, ce que je voudrai reproduire sur mes propres figurines. Merci pour la réponse.
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
Merci!le fait que le compte rendu est sympa, je trouve la peinture vraiment extra. Mais j'aimerai savoir quel est le type de vernis utilisé, il m'a tout l'air d'être légèrement satiné, ce que je voudrai reproduire sur mes propres figurines. Merci pour la réponse.
Hum. C'est étrange pour deux raisons. Je ne vois pas trop l'effet satiné. tu as une photo où il est particulièrement visible ?
En réalité je ne vernis presque pas. C'est la peinture Vallejo/Scale75, qui a plutôt la réputation d'être MAT.
Pour les decalcos, je vernis pour les protéger et renforcer l'adhérence. C'est le vernis Vallejo MAT. au pinceau Il m'arrive toutefois de vernis un peu les figs, quand j'ai encore du vernis dans ma palette après les boucliers; Pour réduire la brillance trop forte des encres.
Je me demande si ce n'est pas un effet lié aux photos, tout simplement
Ogier- Messages : 515
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 40
Localisation : Rueil-Malmaison
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
C'est peut-être cela, car j'utilise du vernis mat (au pinceau) de Vallejo. Avant le vernissage je suis satisfait du résultat, puis après vernis je suis toujours un peu déçu. Il est vrai que toutes mes figurines sont en métal et que je rage, et c'est rien de le dire, quand pour le moindre choc la peinture s'écaille. Maintenant sur du plastique il est possible que cela tienne mieux. Donc je continuerai à pester, sinon lors d'un prochain achat j'essaierai un vernis satiné.
Il y a un certain temps, pour ne pas dire un temps certain je peignais à l'huile et à priori c'était mieux mais le temps de séchage...
Bref, merci pour la réponse et c'est vraiment du beau travail tant pour le détail que pour le rendu..
Il y a un certain temps, pour ne pas dire un temps certain je peignais à l'huile et à priori c'était mieux mais le temps de séchage...
Bref, merci pour la réponse et c'est vraiment du beau travail tant pour le détail que pour le rendu..
Re: Les puniques patinent sur la route de Rome
J'ai encore mouillé tout mon clavier !!!!!!!!
darkness- Messages : 1063
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 56
Localisation : VIERZON
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