Napo : black powder : Une bière trop loin...
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DOCTORHUS
Siaba
la batterie des 4 moulins
lenwelin
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Napo : black powder : Une bière trop loin...
C'est en l'an de guerre 1813 que l'aide de camp Léopold s’en vint quérir les ordres de son supérieur.
(ici s’arrête la réalité historique qui après avoir lu la suite de ce rapport a décidé d'aller voir son médecin et de lui demander un arrêt de travail pour dépression )
L'état major français est en émoi. le général de division Victor boyot vient d'apprendre que l'armée autrichienne du duc Edgar Kollyk doit rebroussé chemin, laissant la petite ferme du Barron lubrique, véritable silo à foin et, plus important encore aux yeux de la soldatesque, distillerie d'alcool renommée, sans défense.
Sous la houlette de Paul Honet, la demi brigade de la Vistule s’est porté volontaire pour "s’occuper" de la distillerie et de sa cargaison.
Rapidement suivi par la brigade française "l'inconnu du bataillon"
Pour une raison totalement absurde et complètement sans fondement historique, un détachement de la vieille garde a décidé d'accompagné tout cela, notamment les grenadiers de la garde (raison pour laquelle justement cette bataille est méconnue des plus grands historiens, l'empereur aurait préféré rayer des livres cette sortie pédestre non approuvé et cacher surtout l'action honteuse de sa garde)
A cela s'ajoute 2 régiments de cavalerie (le 5ieme hussard et des lanciers polonais eux aussi attiré par les vapeur d'alcool) qui hélas se sont pommés dans la brume matinale en début de bataille et que le peintre officiel, trop occupé à picoler, a complètement oublié d'immortaliser leur entré en scène...
Hélas pour l'armée impériale, la lenteur administrative et de manœuvre autrichienne n’était pas usurpé et ainsi, en arrivant aux abords de la ferme isolée, ils se sont retrouvés nez a nez avec une division autrichienne encore en train de picoler allègrement, le temps que le 5 ieme contre ordre ne soit exécuté...
Passé la surprise initiale, le général Aimeric Hochet tenta de mettre rapidement en place (ou plutôt le moins lentement possible) un semblant de cohésion avec les derniers élément encore sur place.
C'est ainsi que 2 divisions de ligne occupèrent les flancs du champ de bataille.
Tandis qu'une demi brigade de grenadier autrichien tient le centre et, si possible la ferme et le stock de bière
l’extrême flanc gauche étant occupé par l'unique régiment de hussard n'ayant pas décampé à la vue de l'armée française :
Les premières heures de la journée sont plutôt calmes avec des autrichiens tentant de remettre un semblant d'organisation dans leur ligne, tandis que l'armée française avance prudemment face a cette présence hostile non prévu, à l’exception notable de la demi brigade de la Vistule qui s'élance en avant à la simple vu d'une caisse de bière allemande encore pleine, surprenant la brigade autrichienne lui faisant face qui doute un peu face à cette élan sauvage ( la 1er ligne a décidé de discuter de la raison d'un tel mouvement en avant, bloquant de fait le reste de tout ce petit monde).
La cavalerie française décide enfin de montrer le bout de son museau... pile face à son homologue autrichien (satané jet de dés de réserve qui les font arriver du bon cote [N.d.l'Autrichien ): qui d'un coup se sent beaucoup moins chaud pour avancer vent du cul dans la plaine ...
Petit vision d'ensemble à la fin du second tour :
Rapidement, pour le grand général autrichien Edgar kollyk, la stratégie française est limpide : il s'agit de percer le flanc gauche autrichien avec le soutien de la cavalerie pendant que la garde s'occupe de la ferme (qui pour une raison inconnue à vu son peintre en extérieur réclamer les 35 heures au nom de l’égalité entre pitoux et modéliste et faire grève la veille de la bataille laissant la dite masure à moitié terminé).
Il donne donc l'ordre à son adjoint Aimeric Hochet d'ancrer le flanc gauche sur la colline en position défensive pendant que le flanc droit tentera de déborder les vulgaires paysans polonais qui leur font face et de menacer le centre francais.
Hélas les aides de camp et autres messagers ayant probablement trop picolé la veille au soir, la moitié de la ligne décida de rester ou elle est en attendant qu'ils décuvent tandis que les hussards ne se sentait pas trop d'avancer de toute façon ....
En réponse ( et cela grâce à la formation de colonne d'attaque ainsi que les promesses d'alcool et de paysannes en détresse qu'il faut sauver d'au moins une raison de leur détresse...) les français en profitèrent pour reprendre l'initiative et se positionner rapidement vers l'objectif.
Les quelques pièces d'artilleries en profitèrent aussi pour tirer les premiers boulets de la partie (surtout car ils ont une plus grande portée que leurs homologues autrichiens), qui firent plus de bruit que de morts (selon nos espions c'est les dit servants qui sont responsables de la pénurie de liqueur dont souffre l'armée)
.
Cela fit enfin réagir les blanches lignes autrichiennes qui s'installèrent dans les sous bois avec leur pièces et leur bataillon de léger pour balancer la mitraille et du plomb sur les polonais de la Vistule.
Pendant ce temps les bataillons de grenadiers occupent la ferme aux boucles d'oreilles et à la moustache de la vieille garde et le flanc gauche prend enfin place sur la colline
Plus attiré par l'odeur du houblon fermenté que rebuté par les dégâts de la mitraille et des fusillades les polonais continuent d'avancer jusqu'aux sous bois menaçant sérieusement la première ligne sans arriver à la charger, entrainant les premiers échanges de mousquets.
La vieille garde quand a elle ne fait pas dans la dentelle et après une rapide préparation au canon lance la charge sur la ferme tenu par les grenadiers autrichiens qui serrent les fesses (à défaut de pouvoir serrer autre chose). tout cela est appuyé par l'avance du flanc droit qui menace les landwhers de manière assez sérieuse à coup de fusil pour provoquer le premier mouvement de retrait. Seul bonne nouvelle dans tout cela, la cavalerie française qui s'embourbe et refuse d'avancer pour d'obscures raisons et force l’extrême droite française à se former en carré pour limiter tout risque de percer chevaleresque de la part des hussards autrichiens.
Et la c'est le miracle ! après leur avoir lancé une volée, la première charge de la vieille garde est repoussé in extremis malgré les multiples soutien de l'infanterie française.
Une rotation est donc immédiatement mise en place pour soulager le 1er bataillon de grenadier fortement éprouvé qui est remplacé, au sein de la ferme par le second resté en retrait.
Dans le même ordre d'idée l'un de deux bataillons de polonais est pris pour cible par l'ensemble de la brigade autrichienne. Quand la fumé retombe le pauvre bataillon, complètement démoralisé était éparpillé aux quatre vents façon puzzle, laissant le second bataillon et le léger un peu seul....
de l'autre coté du champ de bataille le régiment de hussard se place pour venir soutenir son infanterie en cas de problème et l'artillerie autrichienne fait du tir au pigeon dans les colonne d'attaque française et le carré qui se trouve juste en face...
Sur le flanc droit les polonais survivants décident alors de vendre chèrement leur peau en lançant une charge sur la ligne adverses tandis que le bataillon de légers investit les bois pour s'occuper de l'artillerie autrichienne.
la vieille garde relance une charge après une véritable tempête d'artillerie ( surement la cause du mauvais état du stock d'alcool en fin de journée) qui provoque d’ailleurs un début d'incendie diminuant le moral des troupes défendant le bâtiment.
tandis que le flanc gauche lance une charge massive sur la ligne autrichienne déjà mal en point.
Pour ne rien améliorer leurs lanciers, soutenue par des hussards se décident enfin a participer à l'action en lançant une charge réussit sur leur homologue autrichien qui réussit grâce a un jet d'ordre miraculeux (d'autre dirait complètement abusif !).
Ces derniers décident de réaliser une contre charge sans grand espoir car un repli laisserait le flanc de l'infanterie totalement vulnérable.
Malgré les soutiens, mais sans trop de surprise, la première ligne autrichienne déjà affecté par l'artillerie française et les échanges de tirs s'effondre assez rapidement, ne laissant pas trop le temps de mettre en place une riposte approprié. Pour le duel de cavalerie le combat fut bref mais brutal, le cumul des lances et du soutien transforme la retraite en déroute pour les hussards autrichiens, laissant la voie totalement libre aux français.
Néanmoins, la riposte est sévère et sur le flanc droit, le bataillon de léger français est mise en déroute tandis que le dernier bataillon de la Vistule est prit à partie par la seconde ligne.
Étant le dernier bataillon de sa brigade, les pauvres polonais se sont retrouvés automatiquement désorganisés, et la volée de plomb à favorisé leur retraite anticipé, permettant aux autrichiens de prendre totalement le contrôle de ce flanc.
Hélas un peu trop tard car la vieille garde a fini par repousser les grenadiers autrichiens tandis que sur le flanc gauche, la pression déjà bien forte exercé par la ligne française, est devenu intolérable quand les lanciers et les hussards français ont finit par couper la route de retraite autrichienne.
C'est en voyant le début de la déroute que le duc décida de sonner la retraite, couverte par les restes des bataillons de grenadiers...
retraite qui s'effectue sous la forte pression de la cavalerie française achevant ainsi la victoire
PS : désolé pour la qualité des photos, l'appareil et le soleil ont décidé de troller
(ici s’arrête la réalité historique qui après avoir lu la suite de ce rapport a décidé d'aller voir son médecin et de lui demander un arrêt de travail pour dépression )
L'état major français est en émoi. le général de division Victor boyot vient d'apprendre que l'armée autrichienne du duc Edgar Kollyk doit rebroussé chemin, laissant la petite ferme du Barron lubrique, véritable silo à foin et, plus important encore aux yeux de la soldatesque, distillerie d'alcool renommée, sans défense.
Sous la houlette de Paul Honet, la demi brigade de la Vistule s’est porté volontaire pour "s’occuper" de la distillerie et de sa cargaison.
Rapidement suivi par la brigade française "l'inconnu du bataillon"
Pour une raison totalement absurde et complètement sans fondement historique, un détachement de la vieille garde a décidé d'accompagné tout cela, notamment les grenadiers de la garde (raison pour laquelle justement cette bataille est méconnue des plus grands historiens, l'empereur aurait préféré rayer des livres cette sortie pédestre non approuvé et cacher surtout l'action honteuse de sa garde)
A cela s'ajoute 2 régiments de cavalerie (le 5ieme hussard et des lanciers polonais eux aussi attiré par les vapeur d'alcool) qui hélas se sont pommés dans la brume matinale en début de bataille et que le peintre officiel, trop occupé à picoler, a complètement oublié d'immortaliser leur entré en scène...
Hélas pour l'armée impériale, la lenteur administrative et de manœuvre autrichienne n’était pas usurpé et ainsi, en arrivant aux abords de la ferme isolée, ils se sont retrouvés nez a nez avec une division autrichienne encore en train de picoler allègrement, le temps que le 5 ieme contre ordre ne soit exécuté...
Passé la surprise initiale, le général Aimeric Hochet tenta de mettre rapidement en place (ou plutôt le moins lentement possible) un semblant de cohésion avec les derniers élément encore sur place.
C'est ainsi que 2 divisions de ligne occupèrent les flancs du champ de bataille.
Tandis qu'une demi brigade de grenadier autrichien tient le centre et, si possible la ferme et le stock de bière
l’extrême flanc gauche étant occupé par l'unique régiment de hussard n'ayant pas décampé à la vue de l'armée française :
Les premières heures de la journée sont plutôt calmes avec des autrichiens tentant de remettre un semblant d'organisation dans leur ligne, tandis que l'armée française avance prudemment face a cette présence hostile non prévu, à l’exception notable de la demi brigade de la Vistule qui s'élance en avant à la simple vu d'une caisse de bière allemande encore pleine, surprenant la brigade autrichienne lui faisant face qui doute un peu face à cette élan sauvage ( la 1er ligne a décidé de discuter de la raison d'un tel mouvement en avant, bloquant de fait le reste de tout ce petit monde).
La cavalerie française décide enfin de montrer le bout de son museau... pile face à son homologue autrichien (satané jet de dés de réserve qui les font arriver du bon cote [N.d.l'Autrichien ): qui d'un coup se sent beaucoup moins chaud pour avancer vent du cul dans la plaine ...
Petit vision d'ensemble à la fin du second tour :
Rapidement, pour le grand général autrichien Edgar kollyk, la stratégie française est limpide : il s'agit de percer le flanc gauche autrichien avec le soutien de la cavalerie pendant que la garde s'occupe de la ferme (qui pour une raison inconnue à vu son peintre en extérieur réclamer les 35 heures au nom de l’égalité entre pitoux et modéliste et faire grève la veille de la bataille laissant la dite masure à moitié terminé).
Il donne donc l'ordre à son adjoint Aimeric Hochet d'ancrer le flanc gauche sur la colline en position défensive pendant que le flanc droit tentera de déborder les vulgaires paysans polonais qui leur font face et de menacer le centre francais.
Hélas les aides de camp et autres messagers ayant probablement trop picolé la veille au soir, la moitié de la ligne décida de rester ou elle est en attendant qu'ils décuvent tandis que les hussards ne se sentait pas trop d'avancer de toute façon ....
En réponse ( et cela grâce à la formation de colonne d'attaque ainsi que les promesses d'alcool et de paysannes en détresse qu'il faut sauver d'au moins une raison de leur détresse...) les français en profitèrent pour reprendre l'initiative et se positionner rapidement vers l'objectif.
Les quelques pièces d'artilleries en profitèrent aussi pour tirer les premiers boulets de la partie (surtout car ils ont une plus grande portée que leurs homologues autrichiens), qui firent plus de bruit que de morts (selon nos espions c'est les dit servants qui sont responsables de la pénurie de liqueur dont souffre l'armée)
.
Cela fit enfin réagir les blanches lignes autrichiennes qui s'installèrent dans les sous bois avec leur pièces et leur bataillon de léger pour balancer la mitraille et du plomb sur les polonais de la Vistule.
Pendant ce temps les bataillons de grenadiers occupent la ferme aux boucles d'oreilles et à la moustache de la vieille garde et le flanc gauche prend enfin place sur la colline
Plus attiré par l'odeur du houblon fermenté que rebuté par les dégâts de la mitraille et des fusillades les polonais continuent d'avancer jusqu'aux sous bois menaçant sérieusement la première ligne sans arriver à la charger, entrainant les premiers échanges de mousquets.
La vieille garde quand a elle ne fait pas dans la dentelle et après une rapide préparation au canon lance la charge sur la ferme tenu par les grenadiers autrichiens qui serrent les fesses (à défaut de pouvoir serrer autre chose). tout cela est appuyé par l'avance du flanc droit qui menace les landwhers de manière assez sérieuse à coup de fusil pour provoquer le premier mouvement de retrait. Seul bonne nouvelle dans tout cela, la cavalerie française qui s'embourbe et refuse d'avancer pour d'obscures raisons et force l’extrême droite française à se former en carré pour limiter tout risque de percer chevaleresque de la part des hussards autrichiens.
Et la c'est le miracle ! après leur avoir lancé une volée, la première charge de la vieille garde est repoussé in extremis malgré les multiples soutien de l'infanterie française.
Une rotation est donc immédiatement mise en place pour soulager le 1er bataillon de grenadier fortement éprouvé qui est remplacé, au sein de la ferme par le second resté en retrait.
Dans le même ordre d'idée l'un de deux bataillons de polonais est pris pour cible par l'ensemble de la brigade autrichienne. Quand la fumé retombe le pauvre bataillon, complètement démoralisé était éparpillé aux quatre vents façon puzzle, laissant le second bataillon et le léger un peu seul....
de l'autre coté du champ de bataille le régiment de hussard se place pour venir soutenir son infanterie en cas de problème et l'artillerie autrichienne fait du tir au pigeon dans les colonne d'attaque française et le carré qui se trouve juste en face...
Sur le flanc droit les polonais survivants décident alors de vendre chèrement leur peau en lançant une charge sur la ligne adverses tandis que le bataillon de légers investit les bois pour s'occuper de l'artillerie autrichienne.
la vieille garde relance une charge après une véritable tempête d'artillerie ( surement la cause du mauvais état du stock d'alcool en fin de journée) qui provoque d’ailleurs un début d'incendie diminuant le moral des troupes défendant le bâtiment.
tandis que le flanc gauche lance une charge massive sur la ligne autrichienne déjà mal en point.
Pour ne rien améliorer leurs lanciers, soutenue par des hussards se décident enfin a participer à l'action en lançant une charge réussit sur leur homologue autrichien qui réussit grâce a un jet d'ordre miraculeux (d'autre dirait complètement abusif !).
Ces derniers décident de réaliser une contre charge sans grand espoir car un repli laisserait le flanc de l'infanterie totalement vulnérable.
Malgré les soutiens, mais sans trop de surprise, la première ligne autrichienne déjà affecté par l'artillerie française et les échanges de tirs s'effondre assez rapidement, ne laissant pas trop le temps de mettre en place une riposte approprié. Pour le duel de cavalerie le combat fut bref mais brutal, le cumul des lances et du soutien transforme la retraite en déroute pour les hussards autrichiens, laissant la voie totalement libre aux français.
Néanmoins, la riposte est sévère et sur le flanc droit, le bataillon de léger français est mise en déroute tandis que le dernier bataillon de la Vistule est prit à partie par la seconde ligne.
Étant le dernier bataillon de sa brigade, les pauvres polonais se sont retrouvés automatiquement désorganisés, et la volée de plomb à favorisé leur retraite anticipé, permettant aux autrichiens de prendre totalement le contrôle de ce flanc.
Hélas un peu trop tard car la vieille garde a fini par repousser les grenadiers autrichiens tandis que sur le flanc gauche, la pression déjà bien forte exercé par la ligne française, est devenu intolérable quand les lanciers et les hussards français ont finit par couper la route de retraite autrichienne.
C'est en voyant le début de la déroute que le duc décida de sonner la retraite, couverte par les restes des bataillons de grenadiers...
retraite qui s'effectue sous la forte pression de la cavalerie française achevant ainsi la victoire
PS : désolé pour la qualité des photos, l'appareil et le soleil ont décidé de troller
Dernière édition par lenwelin le Lun 29 Juil - 13:21, édité 2 fois
lenwelin- Messages : 89
Date d'inscription : 19/11/2012
Age : 38
Re: Napo : black powder : Une bière trop loin...
Magnifique - Vive l'Empereur !!!
la batterie des 4 moulins- Messages : 822
Date d'inscription : 02/12/2012
Age : 51
Localisation : MENDE
Re: Napo : black powder : Une bière trop loin...
Superbe tout ça !
La peinture et le soclage sont particulièrement réussis.
La peinture et le soclage sont particulièrement réussis.
_________________
- Do you ever feel lonely?
- Only around people.
Re: Napo : black powder : Une bière trop loin...
Excellent !
Et la soif de victoire des belligérants est presque palpable..
Et la soif de victoire des belligérants est presque palpable..
DOCTORHUS- Messages : 284
Date d'inscription : 11/06/2013
Re: Napo : black powder : Une bière trop loin...
Quel excellent rapport .
On revit chaque action .
Une grande épopée
Et des photos extra , des figs splendides , des décors .
Un régal
On revit chaque action .
Une grande épopée
Et des photos extra , des figs splendides , des décors .
Un régal
Eric- Messages : 7645
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 82
Re: Napo : black powder : Une bière trop loin...
Question Subsidiaire : De quelle région es tu ?
la batterie des 4 moulins- Messages : 822
Date d'inscription : 02/12/2012
Age : 51
Localisation : MENDE
Re: Napo : black powder : Une bière trop loin...
Merci pour tout vos commentaires.
Pour la région je suis de Lorraine et me balade beaucoup entre Nancy et Metz
Pour la région je suis de Lorraine et me balade beaucoup entre Nancy et Metz
lenwelin- Messages : 89
Date d'inscription : 19/11/2012
Age : 38
Re: Napo : black powder : Une bière trop loin...
Un Lorrain non di diou !!! J'ai été Lunévillois puis Messin mais finalement je resterai à jamais CATALAN !!! Vive l'Empereur !!!
la batterie des 4 moulins- Messages : 822
Date d'inscription : 02/12/2012
Age : 51
Localisation : MENDE
Re: Napo : black powder : Une bière trop loin...
Moi qui suit pas fan de la Napo ni de soclage multiple, j'ai pris pas mal de plaisir à la lecture de ce rapport!
The Miles- Messages : 1676
Date d'inscription : 09/12/2012
Re: Napo : black powder : Une bière trop loin...
Un régal !
Parfait pour me consoller de mon retour de vacances
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