Du feu dans les Vosges !
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Du feu dans les Vosges !
Salut les amis. Voici le compte-rendu rapide d'une partie la semaine dernière au challenge occitan. A la base, le terrain était présenté pour une rencontre de mes paras anglais mais finalement, ce seront mes français 44 qui seront engagés. Vu le terrain, nous considérons avec un peu d'imagination que nous sous sommes dans une plaine vosgienne. Partie en 1500pts avec un apport gratuit d'un avion (avec seulement des mitrailleuses) côté français et de quoi le descendre, canon quadruple côté allemand. Merci l'organisation ! But de la partie, prendre 3 objectifs, un dans chaque camp et un au milieu. Une fois n'est pas coutume, chacun recevra un bombardement préparatoire.
Le terrain. Les français joueront à droite. Quelques réserves de part et d'autre.
Chacun se met en position très rapidement. Question artillerie, un mortier de 81 de chaque côté avec un observateur côté français + un observateur avancé français. 4 groupes de combat dont un vétéran, un bazooka, une MMG, un tireur d'élite, un lieutenant, un canon de 57, un Sherman 76 et une M8. L'infanterie est plutôt régulière. Les allemands sont fanatiques avec 3 groupes de combat + un irrégulier d'Ukrainiens, un tireur d'élite, un canon d'artillerie avec observateur, un Panzer IV régulier,un Puma et un sous-lieutenant. Je crois ne rien oublier.
Les positions avant les bombardements
Et c'est l'ouverture du bal. De part et d'autres, les obus s'abattent sur les troupes comme si allemands et français s'étaient mis d'accord pour attaquer à la même heure. De chaque côté, rares sont les troupes présentes qui ressortent indemnes mais aucune perte n'est à déplorer.
"Cette fois ci, c'est pour de bon, redonnons la liberté à notre France chérie". Ce ne sont plus des obus d'artillerie qui tombent maintenant mais de mortier. Bien que plus légers, ils causent la perte de celui qui a parlé ainsi que le ciblage réussit du premier coup. Le premier sang versé est français.
Tandis que le lieutenant Martin demande un appui aérien et le chef de pièce de 57 aperçoit du mouvement dans la maison juste en face de lui. "Jules, la fenêtre en haut à gauche, fais moi péter tout ça !"
Les français ne sont pas en reste, le tir fait mouche et l'observateur avancé d'artillerie périt sous les décombres. "Joli coup mon Jules, encore un qui ne reverra pas Berlin !" Cette perte rend l'artillerie allemande quasiment aveugle et donc inutilisable.
Peu après, le groupe allemand qui accompagne le Panzer IV pénètre dans une maison proche juste au bord de la ligne de chemin fer.
Le reste du tour se fait en déplacement de troupes, en ralliement et hommes préférant resté couché au cas où le bombardement ne se serait pas terminé (tireur d'élite français).
Les positions en fin de tour 1:
Tour 2
Craignant une nouvelle arrivée d'obus, le mortier étant réglé, le groupe français ciblé préfère reculer pour se mettre un instant à l'abri d'un champ. Un fois arrivés sans encombre, les hommes en profitent pour arroser les fenêtres derrière lesquelles ils ont aperçu le groupe ennemi. Succession de 6 (abri lourd + mouvement) pour toucher et un "dégât exceptionnel" (pourquoi s'arrêter de faire des 6 élimine d'emblée le tireur MG42. Une bonne chose de faite.
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La maison où sont retranchés les allemands.
Dans le même temps, tout le monde lève la tête. Un bruit de moteur d'avion se rapproche rapidement. Chacun se méfie car il y a souvent des "incidents" de tir... Mais pas cette fois-ci. Le pilote américain a repéré le petit groupe de mortier. Il a l’œil et ses mitrailleuses le hachent littéralement tandis que les servants du quadruple allemand, toujours stressés par le bombardement précédent ne réagissent pas. Une aubaine pour le pilote.
La chance ne semble pas être côté allemand aujourd'hui. D'autant que le tireur d'élite allemand après avoir simplement blessé un servant de mortier français est éliminé par son homologue.
Sans doute stressé par ces pertes qui s'accumulent le sergent retranché dans la maison lance son groupe vers les français qui ont supprimé leur tireur MG. Tels les fanatiques qu'ils sont, ils s'avancent à découvert préparant leur assaut pour la suite. Il est évident qu'un assaut de leur part, ne peut que réussir.
Autant ne pas tenter la chance. le groupe français vétéran sort donc de sa réserve pour affronter ces durs à cuir. Ne pouvant lancer un assaut dans la foulée, ils délivrent un feu meurtrier sur les allemands (18 dés = 17 touches, de mémoire). Les allemands sont calmés et même rayés de la carte !
Par contre sur l'aile gauche française, se joue un drame. Le groupe à l'abri dans le bois et qui protège l'objectif français panique (FUBAR) et tirent dans tous les sens, éliminant l'observateur de mortier français. Un comble !
Tandis que le Puma rate son entrée, sans doute perdu dans la campagne vosgienne, la M8 arrive pour tenter d'aller perturber les arrières ennemies et notamment le canon d'artillerie. L'équipage fait avancer le véhicule prudemment car la pièce est malgré tout gardé par un groupe de combat armé de panzerfaust. Qu'importe, une bonne rafale à bonen distance et deux d'entres eux mordent la poussière.
Côté allemand le groupe ukrainien pénètre dans la maison où se tient l'objectif allemand (où était l'observateur allemand). Ils sont aussitôt pris à partie par la cal 30 français qui fait elle aussi des victimes.
Le Sherman 76 de la 2èDB arrive maintenant sur le champ de bataille et vient se placer au centre des troupes attendant de voir par où va se déplacer le panzer IV.
Tandis que l'équipe bazooka vient seconder la M8 au cas où le Puma réussirait à rentrer dans l'avenir.
En face, les allemands restent bloqués par le stress tandis que le canon quadruple tente de se replacer.
Enfin arrive un SdKfz aux côté du blindé allemand.
Tour 3
Enfin, le mortier français récupère de son stress.
Les allemands n'ont pas dit leur dernier mot. Le transport avance et lâche de longues rafales meurtrières sur les français les plus proches.
Qui perdent quatre hommes et vont se mettre à l'abri derrière une petite maison.
Sur l'aile gauche française, un groupe qui avait lui aussi raté son entrée arrive enfin et va renforcer le groupe stressé.
Un peu plus loin, l'équipe bazooka va elle aussi se mettre à l'abri dans danger éventuel.
Pendant ce temps, les ukrainiens toujours sous le feu de la cal 50 perdent d'autres hommes dont le tireur MG.
Les français continuent leur mouvement. Les ukrainiens croulant sous le stress ne représentent plus de danger. Les vétérans rejoignent leurs amis pour contourner le char ou le transport allemand. Qu'ils se montrent et le Sherman 76 leur fera leur affaire.
Les choses peuvent encore basculer. Le Panzer IV avance avec précaution et se retrouve dans le flanc du canon de 57. Enfin, une chance de faire un beau tir.
Mais les dieux de la guerre ne sont pas germains aujourd'hui. Les balles de mitrailleuses passent de part et d'autre mais... sans perte pour les servants. L'enfer existe bien... pour mon camarade...
Aussitôt, remis de leur peur, les artilleurs font pivoter leur pièce. Feu ! Et l'obus fait mouche, et le char ennemi est détruit instantanément!
Le messe est dite ! D'autant que maintenant, ce sont les français les plus proches du SdKfz, il est donc aussitôt détruit.
Sur l'aile gauche, un nouveau groupe allemand a réussi à rentre mais les français, M8 et bazooka maintenant inférieurs en nombre, du moins pour le contact préféreront reculer pour se regrouper avec les deux autres groupes à proximité. Il n' y a rien à gagner de ce côté là hormis des ennuis...
Les français eux, pratiquement sans perte se retrouvent sans pratiquement aucune opposition pour prendre les objectifs.
Aussi, le sous-lieutenant Müller préfère faire replier ses hommes. Il aura deux mots à dire au commandant du Puma...
Victoire française donc.
La partie a été très agréable d'un point de vue humain. Merci Olivier. Et comme je l'ai dit sur place je compatis sincèrement à la façon dont les événements ont évolué. Je n'ai jamais fait autant de 6 et de 5 depuis des années tandis qu'Olivier ratait souvent ses tirs ou tests de moral. C'est dur quand rien n'y fait.
Le terrain. Les français joueront à droite. Quelques réserves de part et d'autre.
Chacun se met en position très rapidement. Question artillerie, un mortier de 81 de chaque côté avec un observateur côté français + un observateur avancé français. 4 groupes de combat dont un vétéran, un bazooka, une MMG, un tireur d'élite, un lieutenant, un canon de 57, un Sherman 76 et une M8. L'infanterie est plutôt régulière. Les allemands sont fanatiques avec 3 groupes de combat + un irrégulier d'Ukrainiens, un tireur d'élite, un canon d'artillerie avec observateur, un Panzer IV régulier,un Puma et un sous-lieutenant. Je crois ne rien oublier.
Les positions avant les bombardements
Et c'est l'ouverture du bal. De part et d'autres, les obus s'abattent sur les troupes comme si allemands et français s'étaient mis d'accord pour attaquer à la même heure. De chaque côté, rares sont les troupes présentes qui ressortent indemnes mais aucune perte n'est à déplorer.
"Cette fois ci, c'est pour de bon, redonnons la liberté à notre France chérie". Ce ne sont plus des obus d'artillerie qui tombent maintenant mais de mortier. Bien que plus légers, ils causent la perte de celui qui a parlé ainsi que le ciblage réussit du premier coup. Le premier sang versé est français.
Tandis que le lieutenant Martin demande un appui aérien et le chef de pièce de 57 aperçoit du mouvement dans la maison juste en face de lui. "Jules, la fenêtre en haut à gauche, fais moi péter tout ça !"
Les français ne sont pas en reste, le tir fait mouche et l'observateur avancé d'artillerie périt sous les décombres. "Joli coup mon Jules, encore un qui ne reverra pas Berlin !" Cette perte rend l'artillerie allemande quasiment aveugle et donc inutilisable.
Peu après, le groupe allemand qui accompagne le Panzer IV pénètre dans une maison proche juste au bord de la ligne de chemin fer.
Le reste du tour se fait en déplacement de troupes, en ralliement et hommes préférant resté couché au cas où le bombardement ne se serait pas terminé (tireur d'élite français).
Les positions en fin de tour 1:
Tour 2
Craignant une nouvelle arrivée d'obus, le mortier étant réglé, le groupe français ciblé préfère reculer pour se mettre un instant à l'abri d'un champ. Un fois arrivés sans encombre, les hommes en profitent pour arroser les fenêtres derrière lesquelles ils ont aperçu le groupe ennemi. Succession de 6 (abri lourd + mouvement) pour toucher et un "dégât exceptionnel" (pourquoi s'arrêter de faire des 6 élimine d'emblée le tireur MG42. Une bonne chose de faite.
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La maison où sont retranchés les allemands.
Dans le même temps, tout le monde lève la tête. Un bruit de moteur d'avion se rapproche rapidement. Chacun se méfie car il y a souvent des "incidents" de tir... Mais pas cette fois-ci. Le pilote américain a repéré le petit groupe de mortier. Il a l’œil et ses mitrailleuses le hachent littéralement tandis que les servants du quadruple allemand, toujours stressés par le bombardement précédent ne réagissent pas. Une aubaine pour le pilote.
La chance ne semble pas être côté allemand aujourd'hui. D'autant que le tireur d'élite allemand après avoir simplement blessé un servant de mortier français est éliminé par son homologue.
Sans doute stressé par ces pertes qui s'accumulent le sergent retranché dans la maison lance son groupe vers les français qui ont supprimé leur tireur MG. Tels les fanatiques qu'ils sont, ils s'avancent à découvert préparant leur assaut pour la suite. Il est évident qu'un assaut de leur part, ne peut que réussir.
Autant ne pas tenter la chance. le groupe français vétéran sort donc de sa réserve pour affronter ces durs à cuir. Ne pouvant lancer un assaut dans la foulée, ils délivrent un feu meurtrier sur les allemands (18 dés = 17 touches, de mémoire). Les allemands sont calmés et même rayés de la carte !
Par contre sur l'aile gauche française, se joue un drame. Le groupe à l'abri dans le bois et qui protège l'objectif français panique (FUBAR) et tirent dans tous les sens, éliminant l'observateur de mortier français. Un comble !
Tandis que le Puma rate son entrée, sans doute perdu dans la campagne vosgienne, la M8 arrive pour tenter d'aller perturber les arrières ennemies et notamment le canon d'artillerie. L'équipage fait avancer le véhicule prudemment car la pièce est malgré tout gardé par un groupe de combat armé de panzerfaust. Qu'importe, une bonne rafale à bonen distance et deux d'entres eux mordent la poussière.
Côté allemand le groupe ukrainien pénètre dans la maison où se tient l'objectif allemand (où était l'observateur allemand). Ils sont aussitôt pris à partie par la cal 30 français qui fait elle aussi des victimes.
Le Sherman 76 de la 2èDB arrive maintenant sur le champ de bataille et vient se placer au centre des troupes attendant de voir par où va se déplacer le panzer IV.
Tandis que l'équipe bazooka vient seconder la M8 au cas où le Puma réussirait à rentrer dans l'avenir.
En face, les allemands restent bloqués par le stress tandis que le canon quadruple tente de se replacer.
Enfin arrive un SdKfz aux côté du blindé allemand.
Tour 3
Enfin, le mortier français récupère de son stress.
Les allemands n'ont pas dit leur dernier mot. Le transport avance et lâche de longues rafales meurtrières sur les français les plus proches.
Qui perdent quatre hommes et vont se mettre à l'abri derrière une petite maison.
Sur l'aile gauche française, un groupe qui avait lui aussi raté son entrée arrive enfin et va renforcer le groupe stressé.
Un peu plus loin, l'équipe bazooka va elle aussi se mettre à l'abri dans danger éventuel.
Pendant ce temps, les ukrainiens toujours sous le feu de la cal 50 perdent d'autres hommes dont le tireur MG.
Les français continuent leur mouvement. Les ukrainiens croulant sous le stress ne représentent plus de danger. Les vétérans rejoignent leurs amis pour contourner le char ou le transport allemand. Qu'ils se montrent et le Sherman 76 leur fera leur affaire.
Les choses peuvent encore basculer. Le Panzer IV avance avec précaution et se retrouve dans le flanc du canon de 57. Enfin, une chance de faire un beau tir.
Mais les dieux de la guerre ne sont pas germains aujourd'hui. Les balles de mitrailleuses passent de part et d'autre mais... sans perte pour les servants. L'enfer existe bien... pour mon camarade...
Aussitôt, remis de leur peur, les artilleurs font pivoter leur pièce. Feu ! Et l'obus fait mouche, et le char ennemi est détruit instantanément!
Le messe est dite ! D'autant que maintenant, ce sont les français les plus proches du SdKfz, il est donc aussitôt détruit.
Sur l'aile gauche, un nouveau groupe allemand a réussi à rentre mais les français, M8 et bazooka maintenant inférieurs en nombre, du moins pour le contact préféreront reculer pour se regrouper avec les deux autres groupes à proximité. Il n' y a rien à gagner de ce côté là hormis des ennuis...
Les français eux, pratiquement sans perte se retrouvent sans pratiquement aucune opposition pour prendre les objectifs.
Aussi, le sous-lieutenant Müller préfère faire replier ses hommes. Il aura deux mots à dire au commandant du Puma...
Victoire française donc.
La partie a été très agréable d'un point de vue humain. Merci Olivier. Et comme je l'ai dit sur place je compatis sincèrement à la façon dont les événements ont évolué. Je n'ai jamais fait autant de 6 et de 5 depuis des années tandis qu'Olivier ratait souvent ses tirs ou tests de moral. C'est dur quand rien n'y fait.
Jean46- Messages : 466
Date d'inscription : 08/07/2015
Age : 65
Localisation : Escamps (Lot 46)
Re: Du feu dans les Vosges !
Belle partie, bien qu'effectivement un peu à sens unique... Les allemand ont rien eu pour eux.
Question: qui as détruit le SDKFZ exactement? J'ai l'impression que c'était automatique... Je ne pratique pas la règle je suis intrigué...
Question: qui as détruit le SDKFZ exactement? J'ai l'impression que c'était automatique... Je ne pratique pas la règle je suis intrigué...
The Miles- Messages : 1676
Date d'inscription : 09/12/2012
Re: Du feu dans les Vosges !
COCORICOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
Merci Jean . Récit passionnant . Belles photos . Magnifiques figs
Bref , tout y est pour faire plaisir aux combattants et aux lecteurs
Merci Jean . Récit passionnant . Belles photos . Magnifiques figs
Bref , tout y est pour faire plaisir aux combattants et aux lecteurs
Eric- Messages : 7645
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 82
Re: Du feu dans les Vosges !
The Miles a écrit:Belle partie, bien qu'effectivement un peu à sens unique... Les allemand ont rien eu pour eux.
Question: qui as détruit le SDKFZ exactement? J'ai l'impression que c'était automatique... Je ne pratique pas la règle je suis intrigué...
Lorsqu'un transport de troupe est isolé (plus prêt des troupes adverses que des siennes), il est automatiquement détruit par l'adversaire.... Comme si j'avais eu besoin de ca.....
Pour info, Jean jette 16 dés et fait 15 touches..... cherchez l'erreur..... et rien n'a changé pendant la journée...
Re: Du feu dans les Vosges !
The Miles a écrit:Belle partie, bien qu'effectivement un peu à sens unique... Les allemand ont rien eu pour eux.
Question: qui as détruit le SDKFZ exactement? J'ai l'impression que c'était automatique... Je ne pratique pas la règle je suis intrigué...
Merci pour vos retours. Dans la règle à la fin du tour, si un véhicule de transport est plus proche de l'ennemi que d'une unité amie, alors il est automatiquement détruit. Cela oblige le joueur à conserver ses transports un peu en arrière ou pour l'allemand avec ses SdKfz 251 (considérés comme transport) , juste en soutien et non en fer de lance. Ici, c'est la disparition du Panzer IV qui fait que le 251 est plus proche de mes troupes (les groupes derrière les maisons qui se préparaient de toute façon à l'attaquer) que les ukrainiens mal en point dans une maison. On s'y tous fait prendre un jour ou l'autre surtout quand le véhicule est armé. On oublie un peu que ce n'est pas un véhicule de combat. Et Biak puisqu'il s'agit de lui ne s'attendait pas non plus à la disparition aussi rapide du char.
Jean46- Messages : 466
Date d'inscription : 08/07/2015
Age : 65
Localisation : Escamps (Lot 46)
Re: Du feu dans les Vosges !
Ah , cette règle Mortelle
Ce sont les surprises de la guerre .
Jean , méfie toi , j' ai eu aussi 18 six sur 18 dés , cela m'a permis de détruire le bataillon qui venait pour me piquer mon artillerie ( en Empire ) mais les parties suivantes... .que dalle
Ce sont les surprises de la guerre .
Jean , méfie toi , j' ai eu aussi 18 six sur 18 dés , cela m'a permis de détruire le bataillon qui venait pour me piquer mon artillerie ( en Empire ) mais les parties suivantes... .que dalle
Eric- Messages : 7645
Date d'inscription : 15/11/2012
Age : 82
Re: Du feu dans les Vosges !
Bah, d'habitude c'est l'inverse donc là, cela ne m'était pas arrivé depuis des années, réellement. Biak 40 n'a vraiment as eu de chance sur ce coup, de tomber à ce moment là !
Jean46- Messages : 466
Date d'inscription : 08/07/2015
Age : 65
Localisation : Escamps (Lot 46)
Re: Du feu dans les Vosges !
Etrange règle...
Merci pour la réponse en tout cas!
Merci pour la réponse en tout cas!
The Miles- Messages : 1676
Date d'inscription : 09/12/2012
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